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Titre : |
Performances économiques et environnementale des élevages caprins : approche globale et par système alimentaires
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in | Fourrages , n° 260, 01/12/2024 |
Auteur(s) : |
Nicole Bossis, Auteur (et co-auteur)
Jérémie Jost, Auteur (et co-auteur) Aurore Vigan, Auteur (et co-auteur) |
Type de document : | Article |
Résumé : |
La France caprine est diverse : la nature et la place de l’herbe ne sont pas les mêmes dans le Sud et le grand Ouest. Les effectifs caprins sont stables. Le nombre de livreurs a un peu diminué en passant de 3 046 à 2 660, soit une baisse de 13%. Avec un taux de remplacement élevé, l’élevage caprin français fait figure d’exception. Mais le turn-over est à surveiller. Le revenu de l’atelier caprin résulte de la productivité du travail, des charges engagées pour produire le lait et du produit perçu. C’est le positionnement de ces composantes les unes par rapport aux autres qui détermine le niveau de rémunération. L’augmentation de la productivité du travail peut être obtenue en augmentant la production laitière par chèvre et/ou en augmentant le nombre de chèvres par unité de main-d’œuvre[...] La France caprine est diverse : la nature et la place de l’herbe ne sont pas les mêmes dans le Sud et le grand Ouest. Les effectifs caprins sont stables. Le nombre de livreurs a un peu diminué en passant de 3 046 à 2 660, soit une baisse de 13%. Avec un taux de remplacement élevé, l’élevage caprin français fait figure d’exception. Mais le turn-over est à surveiller. Le revenu de l’atelier caprin résulte de la productivité du travail, des charges engagées pour produire le lait et du produit perçu. C’est le positionnement de ces composantes les unes par rapport aux autres qui détermine le niveau de rémunération. L’augmentation de la productivité du travail peut être obtenue en augmentant la production laitière par chèvre et/ou en augmentant le nombre de chèvres par unité de main-d’œuvre. L’empreinte carbone des élevages caprins de l’ouest, c’est-à-dire après déduction du stockage carbone sur les émissions brutes, est de 1,43 kg éq. CO2/l de lait corrigé (± 0,45). Cette moyenne cache une très forte variabilité, notamment liée à la production laitière et à l’efficacité de valorisation du concentré. La compensation carbone est faible (6,5 %), principalement permise par les haies. Le suivi des performances économiques des élevages caprins se fait depuis de nombreuses années maintenant, avec un réel intérêt pour les éleveurs et la filière. Le suivi des performances environnementales est plus récent, et ne suscite pas encore de motivation forte de la part des éleveurs. Pourtant, l’analyse des performances environnementales montre que souvent, l’amélioration de l’empreinte carbone est associée à une économie de charges et/ou d’optimisation technique du système, et donc a un intérêt économique. |
Article en page(s) : | p. 33-44 |
Note(s) : |
Article technique issu d'un "Dossier spécial : Systèmes d'élevages caprins valorisant l'herbe" |
Langue(s) : | Français |
Lien vers la notice : | https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=225097 |
Exemplaires (1)
Localisation | Emplacement | Pôle | Section | Cote | Support | Disponibilité |
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Palaiseau | Accès libre périodiques - 2ème étage | Sans cote | Papier Périodique | Empruntable Disponible |