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"La Mission LAVIA est une expédition itinérante, inédite, scientifique et humaine en Afrique de l’Ouest, menée et portée par six jeunes français de la Fédération Blairoudeurs. La mission, planifiée dans sa phase de terrain entre mai et août 2024, a pour objet d’étude et fil rouge les chiroptères (chauves-souris). L'intégralité de la partie terrain de cette expédition a été effectuée en véhicule tout-terrain du 08 mai au 02 août 2024 en un aller-retour entre Plougonvelin (29217, France) et Sérédou (Guinée). Trois principaux objectifs sont visés au travers de cette opération :
1. L’acquisition de données scientifiques (inventaires par captures au filet japonais, prises de mesures biométriques, prospection de gîtes, enregistrements acoustiques, échanges avec les locaux) très largement l[...]

"La Mission LAVIA est une expédition itinérante, inédite, scientifique et humaine en Afrique de l’Ouest, menée et portée par six jeunes français de la Fédération Blairoudeurs. La mission, planifiée dans sa phase de terrain entre mai et août 2024, a pour objet d’étude et fil rouge les chiroptères (chauves-souris). L'intégralité de la partie terrain de cette expédition a été effectuée en véhicule tout-terrain du 08 mai au 02 août 2024 en un aller-retour entre Plougonvelin (29217, France) et Sérédou (Guinée). Trois principaux objectifs sont visés au travers de cette opération :
1. L’acquisition de données scientifiques (inventaires par captures au filet japonais, prises de mesures biométriques, prospection de gîtes, enregistrements acoustiques, échanges avec les locaux) très largement lacunaires sur ces chiroptères dans les nombreux biomes, aires protégées et villages qui constituent l’Afrique de l’Ouest (Maroc, Mauritanie, Sénégal et Guinée) avec la coopération des ONG et institutions locales.
2. La large diffusion et vulgarisation des connaissances relatives à ce groupe d’espèces méconnu voire mystifié et l’échange de savoirs avec les populations locales. Ce travail est mené par lien fort avec les structures du territoire africain au travers du réseau de la francophonie et de la jeunesse (renforcement de capacités des aires protégées, participation des locaux aux méthodologies d’étude, organisation de conférences universitaires et interventions scolaires, etc.).
3. La valorisation post-mission de cette expédition par la réalisation d’un film documentaire (réalisé par deux diplômés de l’Institut Français de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute (IFFCAM)), d’une édition artistique relatant cette expérience naturaliste et humaine (créée par une étudiante de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier), d’un rapport scientifique exposant les résultats de mission et de la très large diffusion des données rassemblées aux sphères scientifiques et publiques (base de données mondiale GBIF, agents des parcs, chiroptérologues, etc.)." [source : introduction du rapport]