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"La crise COVID a matérialisé l’anthropocène, cette nouvelle époque géologique où l’être humain influence le devenir des écosystèmes au même titre que les forces géophysiques. Face à ce constat, l’écoconception doit s’enrichir en s’appropriant de nouvelles questions et en se projetant sur de nouveaux défis. Cet ouvrage propose de nouvelles perspectives pour écoconcevoir mieux, plus intensément et plus largement. Il apporte une proposition forte en présentant une écoconception centrée sur l’utilité des produits, en refusant l’obésité fonctionnelle, en programmant la pérennité des biens – notamment grâce à l’upgradabilité – ou en considérant des services de partage d’objets. Il s’intéresse également à l’intégration en écoconception des pratiques venant du terrain, vantant le Do it Yours[...]

"La crise COVID a matérialisé l’anthropocène, cette nouvelle époque géologique où l’être humain influence le devenir des écosystèmes au même titre que les forces géophysiques. Face à ce constat, l’écoconception doit s’enrichir en s’appropriant de nouvelles questions et en se projetant sur de nouveaux défis. Cet ouvrage propose de nouvelles perspectives pour écoconcevoir mieux, plus intensément et plus largement. Il apporte une proposition forte en présentant une écoconception centrée sur l’utilité des produits, en refusant l’obésité fonctionnelle, en programmant la pérennité des biens – notamment grâce à l’upgradabilité – ou en considérant des services de partage d’objets. Il s’intéresse également à l’intégration en écoconception des pratiques venant du terrain, vantant le Do it Yourself, telles que les initiatives locales, les LowTech, l’innovation frugale, les makers, etc. Enfin, face à l’émergence de l’écoconception-washing et à la définition de ce qu’est une bonne écoconception, l’ouvrage propose de nouveaux référentiels de contrôle et un outil facilement actionnable pour mesurer la qualité d’écoconception des actions et des moyens mis en oeuvre." [Source éditeur]