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Résumé de l'auteur : L’atteinte des objectifs visés par les services publics est parfois difficile. Cette difficulté est souvent due à la lourdeur du système administratif. Le «new public management» a permis, aujourd’hui, aux autorités compétentes non seulement de pouvoir externaliser certaines missions de services publics mais également d’atteindre leurs objectifs avec efficacité et efficience. L’objectif de ce mémoire est d’essayer de démontrer que la Fédération des Industries Avicoles (FIA) constitue un atout considérable surtout pour l’État français. En effet, nous savons que les fédérations d’industries agroalimentaires en général et avicoles en particulier, notamment la FIA, disposent de ressources humaines compétentes et [...]

Résumé de l'auteur : L’atteinte des objectifs visés par les services publics est parfois difficile. Cette difficulté est souvent due à la lourdeur du système administratif. Le «new public management» a permis, aujourd’hui, aux autorités compétentes non seulement de pouvoir externaliser certaines missions de services publics mais également d’atteindre leurs objectifs avec efficacité et efficience. L’objectif de ce mémoire est d’essayer de démontrer que la Fédération des Industries Avicoles (FIA) constitue un atout considérable surtout pour l’État français. En effet, nous savons que les fédérations d’industries agroalimentaires en général et avicoles en particulier, notamment la FIA, disposent de ressources humaines compétentes et parfois multidisciplinaires. Elles disposent, également, de moyens techniques et financiers importants. Leurs particularités résident dans le fait qu’elles ont d’excellentes relations avec leurs adhérents. Ces types de relations ne peuvent exister entre ces entreprises et les Autorités compétentes car ces dernières sont souvent vues, comme des organes de répression ce qui entraine une certaine méfiance et une réticence à la collaboration. La filière avicole fait face à des enjeux économiques, sociaux et culturels avec notamment une recrudescence d’associations de défense des animaux ou de l’environnement. Il y'a aussi l’apparition de maladie humaines qui sont au moins à 75 % d’origine animale selon l’Organisation mondiale de la Santé animale.Au regard de tous ces éléments, nous avons estimé que l’État français devrait procéder à un renforcement des contrats de partenariat surtout avec la FIA notamment sur les questions relatives à la gestion des risques sanitaires, alimentaires et environnementaux. En effet, les exemples cités dans ce mémoire notamment l’Influenza aviaire, l’économie circulaire, le bien-être animal, les salmonelloses et campylobactérioses démontrent
cette capacité de la FIA à apporter une grande valeur ajoutée aux Autorités compétentes dans le secteur avicole.