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Dans un contexte de réformes majeures des autorités organisatrices initiées au travers de la loi NOTRe sur l’ensemble du territoire national, de nombreuses réflexions émergent sur les services et leur gestion. En réponse à cette réforme, le bureau d’études SCE assiste depuis 2016 à une demande croissante de projets sur l’organisation des services. Cette étude vise à améliorer l’efficience des projets sur le choix des modes de gestion en créant des outils d’aide à la décision. La méthodologie choisie est basée, d’une part, sur la collecte des nombreux outils développés par les collaborateurs et d’autre part, sur le résultat d’un retour d’expérience des anciens clients de SCE. Ces deux étapes permettront de capitaliser la donnée afin d’harmoniser la méthodologie et de proposer les outi[...]

Dans un contexte de réformes majeures des autorités organisatrices initiées au travers de la loi NOTRe sur l’ensemble du territoire national, de nombreuses réflexions émergent sur les services et leur gestion. En réponse à cette réforme, le bureau d’études SCE assiste depuis 2016 à une demande croissante de projets sur l’organisation des services. Cette étude vise à améliorer l’efficience des projets sur le choix des modes de gestion en créant des outils d’aide à la décision. La méthodologie choisie est basée, d’une part, sur la collecte des nombreux outils développés par les collaborateurs et d’autre part, sur le résultat d’un retour d’expérience des anciens clients de SCE. Ces deux étapes permettront de capitaliser la donnée afin d’harmoniser la méthodologie et de proposer les outils les plus appropriés dans le choix du mode de gestion. Si les résultats montrent la nécessité de travailler sur les modes de gestion, il apparaît aussi nécessaire de détailler la répartition des missions entre l’autorité organisatrice et l’opérateur. Ainsi, est proposée une démarche en trois étapes correspondant à trois outils. La première, plus générale, permet de comparer les différents modes de gestion sans intégrer le contexte territorial. La deuxième propose une comparaison de l’adéquation des différents modes de gestion avec les objectifs, en intégrant une pondération en lien avec le contexte technique et politique. Enfin, la dernière étape permet de travailler plus en détail sur la répartition des missions et la comparaison financière entre gestion publique et privée