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Nouvelle tendance au fondement technique justifiée, le semis de maïs débute mi-mars sur certains secteurs. On connaît l'incidence de la précocité d'une variété sur son potentiel et ses besoins en cumul de température. Mais qu'en est-il lorsque c'est la date de semis que l'on précocifie sans modifier l'indice ? Ces nouvelles semences, appelées sem’expert dry, pourraient offrir une diversité de rotation sèche en agriculture de conservation, là ou d'autres cultures de printemps présentent une pénibilité vis-à-vis des ravageurs, dont le gibier, un manque de marge, de débouchés ou les trois cumulés. Faut-il néanmoins faire le pari que les sorties d'hiver seront toujours aussi ressuyer et tempérées pour des parcelles ou le travail du sol mécanique est réduit ? L’essai comparatif du printemp[...]

Nouvelle tendance au fondement technique justifiée, le semis de maïs débute mi-mars sur certains secteurs. On connaît l'incidence de la précocité d'une variété sur son potentiel et ses besoins en cumul de température. Mais qu'en est-il lorsque c'est la date de semis que l'on précocifie sans modifier l'indice ? Ces nouvelles semences, appelées sem’expert dry, pourraient offrir une diversité de rotation sèche en agriculture de conservation, là ou d'autres cultures de printemps présentent une pénibilité vis-à-vis des ravageurs, dont le gibier, un manque de marge, de débouchés ou les trois cumulés. Faut-il néanmoins faire le pari que les sorties d'hiver seront toujours aussi ressuyer et tempérées pour des parcelles ou le travail du sol mécanique est réduit ? L’essai comparatif du printemps dernier permet d'éclairer les écarts de dynamique, de lever et les incidences d'organisation.