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La potabilisation de l'eau passe souvent par une étape de filtration sur CAG. Cette étape qui se déroule en général en fin de traitement, après l'ozonation, permet d'atténuer le goût et les odeurs, mais aussi d'abattre en partie la matière et enfin d'absorber les pesticides et leurs sous-produits ainsi que quelques autres molécules présentes après l'ozonation. Une des limites de cette étape réside dans la perte de charge. En effet =, toute étape de filtration entraîne une perte de charge, a fortiori, sur un matériau fixe et poreux comme le CAG. Il est donc nécessaire de relever la hauteur d'eau, grâce à des polhydras. Cependant le niveau ne peut être relevé au maximum que de 2,5 m dans l'état actuel des choses. De plus, une étape de réaction aux UV qui crée une perte de charge supplém[...]

La potabilisation de l'eau passe souvent par une étape de filtration sur CAG. Cette étape qui se déroule en général en fin de traitement, après l'ozonation, permet d'atténuer le goût et les odeurs, mais aussi d'abattre en partie la matière et enfin d'absorber les pesticides et leurs sous-produits ainsi que quelques autres molécules présentes après l'ozonation. Une des limites de cette étape réside dans la perte de charge. En effet =, toute étape de filtration entraîne une perte de charge, a fortiori, sur un matériau fixe et poreux comme le CAG. Il est donc nécessaire de relever la hauteur d'eau, grâce à des polhydras. Cependant le niveau ne peut être relevé au maximum que de 2,5 m dans l'état actuel des choses. De plus, une étape de réaction aux UV qui crée une perte de charge supplémentaire devrait être implantée entre la filtration CAG et les polhydras. Avec les charbon actuellement utilisé (1240), et dans les cas extrêmes de filtration (21 m/h à 1°C), le système couplé au réacteur UV ne pourrait pas fonctionner. Il s'agit donc de trouver un CAG suffisamment efficace mais moins gourmand en perte de charge. Un charbon a déjà été testé (1020), il engendrait des pertes de charge faibles, mais n'était pas assez efficace. Nous avons alors testé un charbon intermédiaire (1230). Celui-ci a semblé suffisamment efficace, mais malheureusement la perte de charge crée dans les conditions extrêmes dépasserait la limite imposée par le futur couplage avec le réacteur UV. La recherche d'un CAG optimal continue, peut-être que le 830, un autre CAG intermédiaire, sera le bon.