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Le changement climatique planétaire est sans équivoque et il est extrêmement probable que l’influence humaine a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle. En France métropolitaine, au cours des 40 à 50 dernières années, le réchauffement climatique est aussi avéré mais les précipitations moyennes ne montrent pas de tendance très marquée. Le nombre de jours chauds et les sécheresses des sols ont augmenté et le nombre de jours froids a diminué, mais aucune tendance de long terme n’est observable pour les tempêtes.
A l'horizon 2050, les changements climatiques futurs ne dépendent pas de l'amplitude des scénarios d'émissions de gaz à effet de serre. Par contre, au-delà de cette échéance, ces scénarios peuvent conduire à une stabilisation des changement[...]

Le changement climatique planétaire est sans équivoque et il est extrêmement probable que l’influence humaine a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle. En France métropolitaine, au cours des 40 à 50 dernières années, le réchauffement climatique est aussi avéré mais les précipitations moyennes ne montrent pas de tendance très marquée. Le nombre de jours chauds et les sécheresses des sols ont augmenté et le nombre de jours froids a diminué, mais aucune tendance de long terme n’est observable pour les tempêtes.
A l'horizon 2050, les changements climatiques futurs ne dépendent pas de l'amplitude des scénarios d'émissions de gaz à effet de serre. Par contre, au-delà de cette échéance, ces scénarios peuvent conduire à une stabilisation des changements climatiques ou à leur amplification. En France, les conséquences attendues les plus marquées concernent les épisodes de vagues de chaleur et les épisodes de sécheresses. Les conséquences socioéconomiques sont potentiellement très importantes notamment dans le domaine agricole.