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Titre : |
Des confusions entre espèces préjudiciables à la gestion durable des essences forestières : l’exemple des acajous d’Afrique (Khaya, Meliaceae)
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in | Bois et forêts des tropiques , n° 339, 01/02/2019 |
Auteur(s) : |
Ulrich Gaël Bouka Dipelet, Auteur (et co-auteur)
Charles Doumenge, Auteur (et co-auteur) Jean Joël Loumeto, Auteur (et co-auteur) Jacques Florence, Auteur (et co-auteur) Christelle Gonmadje, Auteur (et co-auteur) Doyle McKey, Auteur (et co-auteur) |
Type de document : | Article |
Sujets : | Khaya ; Gestion durable des ressources naturelles ; Chimiotaxonomie Forêts -- Régions tropicales ; Sciences naturelles -- Classification |
Résumé : |
Les espèces du genre Khaya procurent l’un des bois les plus prisés du continent africain. Elles sont commercialisées sous l’appellation « acajou d’Afrique » depuis environ deux siècles. En Afrique continentale, on reconnaît actuellement quatre espèces morphologiquement proches : Khaya anthotheca, K. grandifoliola, K. ivorensis et K. senegalensis. Le nombre de taxons du genre Khaya a varié au cours du temps et la délimitation de ces taxons n’est pas sans avoir des implications sur les stratégies de conservation et de gestion durable des espèces. L’objectif du travail présenté ici est de s’assurer de la délimitation de ces espèces sur la base d’un bilan des connaissances actuelles en taxonomie, génétique, écologie et chimiotaxonomie. Les données disponibles ne permettent pas toujours de[...] Les espèces du genre Khaya procurent l’un des bois les plus prisés du continent africain. Elles sont commercialisées sous l’appellation « acajou d’Afrique » depuis environ deux siècles. En Afrique continentale, on reconnaît actuellement quatre espèces morphologiquement proches : Khaya anthotheca, K. grandifoliola, K. ivorensis et K. senegalensis. Le nombre de taxons du genre Khaya a varié au cours du temps et la délimitation de ces taxons n’est pas sans avoir des implications sur les stratégies de conservation et de gestion durable des espèces. L’objectif du travail présenté ici est de s’assurer de la délimitation de ces espèces sur la base d’un bilan des connaissances actuelles en taxonomie, génétique, écologie et chimiotaxonomie. Les données disponibles ne permettent pas toujours de séparer sans ambiguïté les quatre acajous d’Afrique continentale. Elles permettent toutefois d’avancer que K. ivorensis, K. grandifoliola et K. senegalensis seraient des espèces à part entière mais dont les limites taxonomiques doivent encore être précisées. Khaya nyasica serait également une espèce qui devrait être séparée de K. anthotheca. Au sein de cette dernière, plusieurs chémotypes ont été identifiés, ce qui suggère que ce taxon pourrait recouvrir un ensemble plus complexe d’au moins deux autres taxons dont le rang spécifique ou sous-spécifique reste à préciser. Des recherches morphométriques, génétiques et écologiques doivent être développées afin de clarifier le statut systématique et l’histoire évolutive de ces divers taxons, en vue de formuler des recommandations appropriées pour la gestion durable des acajous d’Afrique. |
Article en page(s) : | 17-32 |
Langue(s) : | Français |
Lien vers la notice : | https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=204033 |
Exemplaires (1)
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