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La définition même de la « Connaissance » fait l’objet de débats entre les philosophes. Traditionnellement on distingue trois types de connaissances : propositionnelle, objectuelle, savoir faire. Pour certains, elle se définit simplement comme l’état de celui qui connaît ou sait quelque chose. Pour d’autres, elle n’est pas définie. Elle s’acquiert par des processus comme le raisonnement, l’apprentissage, le témoignage, la mémoire, ou la perception. Pour certains philosophes, la connaissance doit aussi être justifiable et cohérente. (Wikipedia) Les théories ou les croyances qui donnent lieu à l’interprétation des informations (connaissance), n’ont pas été uniquement soumises aux débats philosophiques. Elles aussi font aussi l’objet de mythes dans la majorité des sociétés. Dans le monde[...]

La définition même de la « Connaissance » fait l’objet de débats entre les philosophes. Traditionnellement on distingue trois types de connaissances : propositionnelle, objectuelle, savoir faire. Pour certains, elle se définit simplement comme l’état de celui qui connaît ou sait quelque chose. Pour d’autres, elle n’est pas définie. Elle s’acquiert par des processus comme le raisonnement, l’apprentissage, le témoignage, la mémoire, ou la perception. Pour certains philosophes, la connaissance doit aussi être justifiable et cohérente. (Wikipedia) Les théories ou les croyances qui donnent lieu à l’interprétation des informations (connaissance), n’ont pas été uniquement soumises aux débats philosophiques. Elles aussi font aussi l’objet de mythes dans la majorité des sociétés. Dans le monde, les civilisations ont établi des liens entre la magie et le savoir faire, notamment au sujet de questions, d’objets méconnus, qu’on ne peut pas toucher ni voir par exemple (comme le fond de la mer, le noyau de la Terre, les eaux souterraines, etc.), qui mêlent le rationnel et l’irrationnel. Dans le temps, celui qui «avait une certaine forme de connaissance » était considéré comme sage, il ne transmettait ses secrets qu’à ses apprentis, et la connaissance restait extrêmement confidentielle et mystérieuse. Pendant plusieurs centaines d’années les sociétés ont hébergé ces personnages qui renferment la superstition même, sur lesquels les gens se sont appuyés pour le développement de toutes leurs activités. Ils sont encore vivants dans les mémoires (Nostradamus, Merlin, Galilée) soit comme partie des histoires fantastiques soit comme partie de la vie quotidienne. Un des objets les plus mystiques est la recherche et la compréhension du fonctionnement des eaux souterraines (la partie cachée des ressources en eau), puisque on pouvait forer des puits mais on ne connaissait pas le parcours de ces eaux, invisibles à l’oeil nu. Elles ont pourtant toujours été très utilisées, en particulier pour la consommation humaine.