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La quiétude des hommes a de tout temps été troublée par divers aléas climatiques. Ceux liés à l’eau ont causé au cours des siècles d’importantes pertes en vies humaines et dommages matériels faisant prendre conscience du risque lié à l’eau. Le risque étant aléatoire et incertain, il est paru nécessaire de réduire cette incertitude à travers la mise en oeuvre de politique et d’actions adéquates à différentes échelles. Au niveau international, le GIECC a été créé en 1988 et a permis de définir différents scénarios évolutifs du climat. Grâce à ces scénarios, les différents pays en savent plus sur les risques encourus en termes de disponibilité, de répartition de la ressource en eau ou de l’élévation du niveau des mers. Au niveau pays, des politiques sont également mise en oeuvre pour ant[...]

La quiétude des hommes a de tout temps été troublée par divers aléas climatiques. Ceux liés à l’eau ont causé au cours des siècles d’importantes pertes en vies humaines et dommages matériels faisant prendre conscience du risque lié à l’eau. Le risque étant aléatoire et incertain, il est paru nécessaire de réduire cette incertitude à travers la mise en oeuvre de politique et d’actions adéquates à différentes échelles. Au niveau international, le GIECC a été créé en 1988 et a permis de définir différents scénarios évolutifs du climat. Grâce à ces scénarios, les différents pays en savent plus sur les risques encourus en termes de disponibilité, de répartition de la ressource en eau ou de l’élévation du niveau des mers. Au niveau pays, des politiques sont également mise en oeuvre pour anticiper les aléas climatiques et mieux gérer les risques liés à l’eau. En France, la politique mise en oeuvre est cloisonnée par sept principes : la connaissance, la surveillance, l’information, l’urbanisme, la vulnérabilité, la gestion de crise et le retour d’expérience. Le retour d’expérience sur la tempête xynthia en vendée ou l’inondation à Grabels permettent de mettre en lumière les points faibles de ces principes. Ces faiblesses seraient elles dues à une défaillance des acteurs de cette politique ou serait tout simplement un déphasage entre la politique mise en oeuvre et les réalités du terrain ? L’expérience de l’anticipation du risque lié à l’eau dans d’autres pays comme l’Allemagne parait-elle meilleure ?