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Les apports en eaux de surface aux lacs de Gérardmer et de Longemer sont estimés sur les années 1977 et 1978 par des mesures directes de débits, mais aussi par un bilan climatologique basé sur les données de pluie, de température et d'ensoleillement disponibles sur cette période. Cette dernière méthode surestime les débits d'environ 25 %.
En reconstituant les apports aux lacs par des bilans climatologiques, et enles corrigeant des écarts constatés sur 77-78, on peut estimer les débits spécifiques moyens interannuels à 34 l/s/km2 pour les bassins drainés par le lac de Gérardmer et à 43 l/s/km2 pourceux de Longemer.
Enfin, chaque année de la période 1971-1978, nous avons pu rétablir les débits moyen mensuels, à partir de ceux enregistrés sur le Rupt de Cleurie à Cleurie qui draine un ba[...]

Les apports en eaux de surface aux lacs de Gérardmer et de Longemer sont estimés sur les années 1977 et 1978 par des mesures directes de débits, mais aussi par un bilan climatologique basé sur les données de pluie, de température et d'ensoleillement disponibles sur cette période. Cette dernière méthode surestime les débits d'environ 25 %.
En reconstituant les apports aux lacs par des bilans climatologiques, et enles corrigeant des écarts constatés sur 77-78, on peut estimer les débits spécifiques moyens interannuels à 34 l/s/km2 pour les bassins drainés par le lac de Gérardmer et à 43 l/s/km2 pourceux de Longemer.
Enfin, chaque année de la période 1971-1978, nous avons pu rétablir les débits moyen mensuels, à partir de ceux enregistrés sur le Rupt de Cleurie à Cleurie qui draine un bassin assez comparable. Il était alors possible de reconstituer l'évolution probable de l'âge des eaux mois par mois. Ces résultats sont présentés sous forme graphique sur les figures6 et 7 des pp 29 et 30.
On retiendra que les temps moyens de séjour des eaux dans les lacs sont le plus vraisemblavlement de 16 mois pour Gérardmer et de 7 mois pour Longemer.