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Windhoek, capitale de la Namibie a connu très tôt des problèmes de ressources en eau. Dès 1968, cette question devient problématique et conduit les autorités de la ville au choix du recyclage d'une partie des eaux usées. Depuis 25 ans, cette station de potabilisation produit 5 à 15% de l'eau potable de la ville et fonctionne sous un contrôle strict de la qualité de l'eau produite. Aucun problème de santé publique n'a été constaté jusqu'à ce jour.
Aujourd'hui se pose à nouveau le problème des ressources en eau, en raison de la sécheresse sévère de ces trois dernières années et du fort accroissement de population enregistré après l'indépendance. La seule solution envisageable est l'extension de la station actuelle de potabilisation. Mais ceci ne peut se faire sans sérieuses précautions[...]

Windhoek, capitale de la Namibie a connu très tôt des problèmes de ressources en eau. Dès 1968, cette question devient problématique et conduit les autorités de la ville au choix du recyclage d'une partie des eaux usées. Depuis 25 ans, cette station de potabilisation produit 5 à 15% de l'eau potable de la ville et fonctionne sous un contrôle strict de la qualité de l'eau produite. Aucun problème de santé publique n'a été constaté jusqu'à ce jour.
Aujourd'hui se pose à nouveau le problème des ressources en eau, en raison de la sécheresse sévère de ces trois dernières années et du fort accroissement de population enregistré après l'indépendance. La seule solution envisageable est l'extension de la station actuelle de potabilisation. Mais ceci ne peut se faire sans sérieuses précautions et la garantie de pouvoir produire une eau sans risque de contamination. Les technologies membranaires, telle l'ultrafiltration, semble une réponse bien adaptée aux impératifs de qualité de la ville de Windhoek.