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Evaluation et suivi des impacts environnementaux des pratiques culturales LU’Harmony / Anne-Lise Koch Lavisse (2010)
Titre : Evaluation et suivi des impacts environnementaux des pratiques culturales LU’Harmony Type de document : document électronique Auteurs : Anne-Lise Koch Lavisse, Auteur ; Thierry Doré (1959-....), Responsable de stage ; Emilie Corradi, Tuteur Editeur : Paris [France] : AgroParisTech Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (84 p.) Note générale : Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : impacts environnementaux blé tendre évaluation pratiques culturales Résumé : Produire du blé tendre en respectant l’environnement et en préservant la biodiversité ? C’est le défi que relève LU France avec la charte LU’Harmony Céréales. Elle vise à réduire les impacts sur l’environnement de la culture de blé tendre. Son originalité repose sur la culture de plantes mellifères sur minimum 2% de la surface cultivée en blé. Comme tout plan d’action, il fait l’objet d’une évaluation de ses impacts dont les résultats sont de plus en demandés par des consommateurs sensibles à une consommation durable. C’est pourquoi les indicateurs ont été choisis comme instruments de suivi au profit de modèles ou mesures directes. Huit indicateurs ont été sélectionnés pour répondre à deux problématiques : les cultures mellifères implantées permettent-elles de préserver la biodiversité dans des paysages agricoles ? Y-a-t-il réduction des impacts de la culture de blé tendre sur l’environnement par la mise en place de la charte LU’Harmony ? Les cultures mellifères de 2009-2010 ont nourri de nombreux pollinisateurs. De plus, elles ont attiré de la faune sauvage type gibier et auxiliaires de culture. Les bénéfices de ces fleurs par rapport aux grandes cultures attendues à cet emplacement en absence du projet restent à valider. De plus il faut veiller à ne pas perturber l’équilibre des populations présentes. Les pressions exercées par la culture de blé tendre LU’Harmony sur l’environnement restent encore à évaluer. Enfin, nous avons pu améliorer la conduite de la parcelle méllifère suite aux observations réalisées sur le terrain et les échanges avec chacun des maillons de la filière.
Both sustainable wheat production and biodiversity conservation in French agricultural landscapes is the challenge taken up by LU France with LU’Harmony charter. It aims to reduce tender wheat production impacts on the environment and to preserve biodiversity. In favour of the biodiversity enhancement, at least 2% of fields are dedicated to patches of bee friendly flowers to ensure the conservation of wildlife into wheat agricultural systems. All action plans need evaluation that is here aimed to consumers looking more and more forward to sustainable consumption. Eight indicators have been chosen for their communicability potential and feasibility. They will answer two questions: do the bee friendly flowers preserve the biodiversity in agricultural landscape? Is there any decrease in the impacts of tender wheat cultivation on environment due to LU’Harmony implementation? The bee friendly flowers of 2009-2010 have supplied bees and pollinisators in pollen and nectar. In addition, they provided shelter to other wildlife specimens, ground beetles and lady birds. The benefits of those flowers in comparison with intensive crops expected at this place without the project remain to evaluate. In addition, the introduction of those flowers must not break the balance between local species. No time was left to evaluate the pressures of the wheat production on environment. Last but not least, fields monitoring and discussions with each partner of the chain production allows us to define how to cultivate efficiently the bee friendly crop.Note de contenu : Direction Qualité Fournisseur A ; 3 rue Saarinen ; 94150 RUNGIS Type de document : Mémoire Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198089 Evaluation et suivi des impacts environnementaux des pratiques culturales LU’Harmony [document électronique] / Anne-Lise Koch Lavisse, Auteur ; Thierry Doré (1959-....), Responsable de stage ; Emilie Corradi, Tuteur . - Paris (France) : AgroParisTech, 2010 . - 1 vol. (84 p.).
Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2010
Langues : Français (fre)
Mots-clés : impacts environnementaux blé tendre évaluation pratiques culturales Résumé : Produire du blé tendre en respectant l’environnement et en préservant la biodiversité ? C’est le défi que relève LU France avec la charte LU’Harmony Céréales. Elle vise à réduire les impacts sur l’environnement de la culture de blé tendre. Son originalité repose sur la culture de plantes mellifères sur minimum 2% de la surface cultivée en blé. Comme tout plan d’action, il fait l’objet d’une évaluation de ses impacts dont les résultats sont de plus en demandés par des consommateurs sensibles à une consommation durable. C’est pourquoi les indicateurs ont été choisis comme instruments de suivi au profit de modèles ou mesures directes. Huit indicateurs ont été sélectionnés pour répondre à deux problématiques : les cultures mellifères implantées permettent-elles de préserver la biodiversité dans des paysages agricoles ? Y-a-t-il réduction des impacts de la culture de blé tendre sur l’environnement par la mise en place de la charte LU’Harmony ? Les cultures mellifères de 2009-2010 ont nourri de nombreux pollinisateurs. De plus, elles ont attiré de la faune sauvage type gibier et auxiliaires de culture. Les bénéfices de ces fleurs par rapport aux grandes cultures attendues à cet emplacement en absence du projet restent à valider. De plus il faut veiller à ne pas perturber l’équilibre des populations présentes. Les pressions exercées par la culture de blé tendre LU’Harmony sur l’environnement restent encore à évaluer. Enfin, nous avons pu améliorer la conduite de la parcelle méllifère suite aux observations réalisées sur le terrain et les échanges avec chacun des maillons de la filière.
Both sustainable wheat production and biodiversity conservation in French agricultural landscapes is the challenge taken up by LU France with LU’Harmony charter. It aims to reduce tender wheat production impacts on the environment and to preserve biodiversity. In favour of the biodiversity enhancement, at least 2% of fields are dedicated to patches of bee friendly flowers to ensure the conservation of wildlife into wheat agricultural systems. All action plans need evaluation that is here aimed to consumers looking more and more forward to sustainable consumption. Eight indicators have been chosen for their communicability potential and feasibility. They will answer two questions: do the bee friendly flowers preserve the biodiversity in agricultural landscape? Is there any decrease in the impacts of tender wheat cultivation on environment due to LU’Harmony implementation? The bee friendly flowers of 2009-2010 have supplied bees and pollinisators in pollen and nectar. In addition, they provided shelter to other wildlife specimens, ground beetles and lady birds. The benefits of those flowers in comparison with intensive crops expected at this place without the project remain to evaluate. In addition, the introduction of those flowers must not break the balance between local species. No time was left to evaluate the pressures of the wheat production on environment. Last but not least, fields monitoring and discussions with each partner of the chain production allows us to define how to cultivate efficiently the bee friendly crop.Note de contenu : Direction Qualité Fournisseur A ; 3 rue Saarinen ; 94150 RUNGIS Type de document : Mémoire Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198089 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Paris Claude Bernard sans section MEM-3A-2010-KOCH En ligne 99999899231 Confidentiel Construction d’une démarche participative pour améliorer la gestion de l’eau et du sol. Une application aux politiques des aménagements de conservation des eaux et des sols en Tunisie Centrale / Houssem Braiki (2018)
Titre : Construction d’une démarche participative pour améliorer la gestion de l’eau et du sol. Une application aux politiques des aménagements de conservation des eaux et des sols en Tunisie Centrale Titre original : Elaboration of a participative approach to improve water and soil management. An application to the policies of water and soil works in central Tunisia Type de document : document électronique Auteurs : Houssem Braiki, Auteur ; Sami Bouarfa, Directeur de thèse ; Hamadi Habaieb, Directeur de thèse Editeur : Paris [France] : AgroParisTech Année de publication : 2018 Autre Editeur : Montpellier : Ecole doctorale GAIA Importance : 1 vol. (212 p.) Présentation : ill. en coul., fig., tabl., graph Format : 30 cm Note générale : Bibliographie p. 135-153
Th. 3e cycle : science et technique de l'eau : Paris, AgroParisTech : 2018Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Conservation des ressources agricoles -- Tunisie -- Thèses et écrits académiques ; Gestion des ressources en eau -- Aspect environnemental -- Thèses et écrits académiques ; Sols -- Aménagement -- Thèses et écrits académiques ; Sols -- Façons culturales de conservation -- Thèses et écrits académiques ; Démocratie participative -- Thèses et écrits académiquesMots-clés : Approches participatives Conservation des ressources naturelles Indicateurs Impacts Évaluation Tunisie Participatory approaches Conservation of natural resources Indicators Evaluation Tunisia Résumé : En Tunisie centrale, l'intensification agricole de l’agriculture irriguée engendre des impacts environnementaux locaux et régionaux liés à une consommation accrue en intrants et ressources, dont l’eau et le sol. En faveur d'une agriculture plus durable et pour éclairer les politiques publiques de développement agricole, il est nécessaire d’évaluer les impacts des pratiques agricoles et d’aménagement de conservation des eaux et des sols (ACES), et ceci à l’échelle d’un territoire. La question est ainsi de savoir comment mettre en oeuvre une démarche d'évaluation environnementale dans un contexte 1) de rareté de données fiables y compris statistiques, et de complexité des pratiques agricoles, 2) de proéminence des questions socioéconomiques sur les préoccupations environnementales 3) de méconnaissance de la perception des acteurs locaux sur ces questions et donc de difficulté à identifier des indicateurs pertinents (sur le plan scientifique et des acteurs) et mobilisables. Nous proposons une démarche innovante de conception et mise en oeuvre d’une approche participative regroupant différents types d’acteurs, pour leur permettre d’appréhender mutuellement leurs logiques et leurs perceptions des impacts des pratiques agricoles et des ACES. Cette démarche est conçue pour produire de l’information de qualité en valorisant les savoirs locaux, partager et prendre en compte les perceptions des différents acteurs, et enfin construire des consensus pour contribuer à l’élaboration de politiques d’ACES plus efficaces. Elle a été structurée en deux grandes étapes : la conception en communauté de pratique articulée à un diagnostic rapide participatif systémique et la mise en oeuvre d’ateliers participatifs. L’évaluation a mobilisé un double dispositif comprenant des observateurs extérieurs et une enquête de satisfaction auprès des participants. Elle s’appuie sur une grille d’évaluation de cette démarche, de ses produits et des effets induits à court terme. Le partage et la prise en compte des informations et des données collectées, mais aussi des expertises et perceptions des différents acteurs, a permis de produire des informations jugées satisfaisantes ou très satisfaisantes par la totalité des participants. Cela a nourri les connaissances de la quasi-totalité des acteurs et a contribué à une dynamique constructive d’apprentissage collectif. Notre démarche a nettement contribué à l’évolution des perceptions et à une plus forte compréhension mutuelle des agents de l’administration et des agriculteurs. Un tableau de bord regroupant les indicateurs mobilisés par chaque acteur a été discuté et a permis de mettre en évidence convergences et différences dans leurs grilles d’analyse. La structuration progressive et adaptative de la démarche, les choix des acteurs, des lieux de réalisation des ateliers et le recours à un animateur neutre ont été des facteurs très importants pour l’engagement et la mobilisation des acteurs, en particulier au niveau central, dans cet espace opérationnel de concertation sur les enjeux territoriaux, les pratiques agricoles et les ACES. Ce travail démontre l’intérêt de l’intégration de l’ingénierie de la concertation et de l’évaluation environnementale au sein d’une même démarche et sa faisabilité dans un contexte difficile pour la mise en oeuvre de politiques d’ACES.
In central Tunisia, the agricultural intensification of irrigated agriculture generates local and regional environmental impacts, linked to an increased consumption of inputs and resources, including water and soil. In favor of a more sustainable agriculture and in order to inform public policies of agricultural development, it is necessary to assess the impacts of agricultural practices and water and soil conservation planning (WSCP), and this at the territory scale. The question is how to implement an environmental assessment approach in a context of 1) scarcity of reliable data including statistics, and complexity of farming practices, 2) prominence of socio-economic issues over environmental concerns 3) lack of knowledge of the perception of local actors on these issues and therefore of difficulty in identifying relevant indicators (scientific and of the stakeholders) and mobilizable. We propose an innovative approach to design and implement a participative approach involving different types of actors, to enable them to get more insights into each other's logic and perceptions of the impacts of agricultural practices and WSCP. This approach is designed to produce quality information by valuing local knowledge, share and take into account the perceptions of different stakeholders, and finally, build a consensus to contribute to the development of more effective WSCP policies. This approach has been structured in two main stages: the design of a community of practices articulated to a participatory systemic rapid diagnosis and the implementation of participatory workshops. The evaluation mobilized a dual mechanism including external observers and a satisfaction survey among participants. The survey is based on an evaluation grid of this approach, its outcomes and its short term induced effect. Sharing and taking into account the information and data collected, as well as the expertise and perceptions of the various stakeholders, has made possible to produce information deemed satisfactory or very satisfactory by all the participants. This nourished the knowledge of almost all the stakeholders and contributed to a constructive dynamic of collective learning. Our approach has contributed significantly to the evolution of perceptions and to a stronger mutual understanding between government officials and farmers. A dashboard grouping the indicators mobilized by each stakeholder was discussed and allowed to highlight convergences and differences in their analysis grids. The gradual and adaptive structuring of the approach, the choices of the stakeholders, the venues for the workshops and the use of a neutral facilitator were very important factors for the commitment and the mobilization of the stakeholders, in particular at the central scale, in this operational space for consultation on territorial issues, agricultural practices and WSCP. This work demonstrates the interest of integrating the engineering of consultation and environmental assessment within one approach and its feasibility in a difficult context for the ACES policies implementation.Type de document : Thèse Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197791 Construction d’une démarche participative pour améliorer la gestion de l’eau et du sol. Une application aux politiques des aménagements de conservation des eaux et des sols en Tunisie Centrale = Elaboration of a participative approach to improve water and soil management. An application to the policies of water and soil works in central Tunisia [document électronique] / Houssem Braiki, Auteur ; Sami Bouarfa, Directeur de thèse ; Hamadi Habaieb, Directeur de thèse . - Paris (France) : AgroParisTech : Montpellier : Ecole doctorale GAIA, 2018 . - 1 vol. (212 p.) : ill. en coul., fig., tabl., graph ; 30 cm.
Bibliographie p. 135-153
Th. 3e cycle : science et technique de l'eau : Paris, AgroParisTech : 2018
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Conservation des ressources agricoles -- Tunisie -- Thèses et écrits académiques ; Gestion des ressources en eau -- Aspect environnemental -- Thèses et écrits académiques ; Sols -- Aménagement -- Thèses et écrits académiques ; Sols -- Façons culturales de conservation -- Thèses et écrits académiques ; Démocratie participative -- Thèses et écrits académiquesMots-clés : Approches participatives Conservation des ressources naturelles Indicateurs Impacts Évaluation Tunisie Participatory approaches Conservation of natural resources Indicators Evaluation Tunisia Résumé : En Tunisie centrale, l'intensification agricole de l’agriculture irriguée engendre des impacts environnementaux locaux et régionaux liés à une consommation accrue en intrants et ressources, dont l’eau et le sol. En faveur d'une agriculture plus durable et pour éclairer les politiques publiques de développement agricole, il est nécessaire d’évaluer les impacts des pratiques agricoles et d’aménagement de conservation des eaux et des sols (ACES), et ceci à l’échelle d’un territoire. La question est ainsi de savoir comment mettre en oeuvre une démarche d'évaluation environnementale dans un contexte 1) de rareté de données fiables y compris statistiques, et de complexité des pratiques agricoles, 2) de proéminence des questions socioéconomiques sur les préoccupations environnementales 3) de méconnaissance de la perception des acteurs locaux sur ces questions et donc de difficulté à identifier des indicateurs pertinents (sur le plan scientifique et des acteurs) et mobilisables. Nous proposons une démarche innovante de conception et mise en oeuvre d’une approche participative regroupant différents types d’acteurs, pour leur permettre d’appréhender mutuellement leurs logiques et leurs perceptions des impacts des pratiques agricoles et des ACES. Cette démarche est conçue pour produire de l’information de qualité en valorisant les savoirs locaux, partager et prendre en compte les perceptions des différents acteurs, et enfin construire des consensus pour contribuer à l’élaboration de politiques d’ACES plus efficaces. Elle a été structurée en deux grandes étapes : la conception en communauté de pratique articulée à un diagnostic rapide participatif systémique et la mise en oeuvre d’ateliers participatifs. L’évaluation a mobilisé un double dispositif comprenant des observateurs extérieurs et une enquête de satisfaction auprès des participants. Elle s’appuie sur une grille d’évaluation de cette démarche, de ses produits et des effets induits à court terme. Le partage et la prise en compte des informations et des données collectées, mais aussi des expertises et perceptions des différents acteurs, a permis de produire des informations jugées satisfaisantes ou très satisfaisantes par la totalité des participants. Cela a nourri les connaissances de la quasi-totalité des acteurs et a contribué à une dynamique constructive d’apprentissage collectif. Notre démarche a nettement contribué à l’évolution des perceptions et à une plus forte compréhension mutuelle des agents de l’administration et des agriculteurs. Un tableau de bord regroupant les indicateurs mobilisés par chaque acteur a été discuté et a permis de mettre en évidence convergences et différences dans leurs grilles d’analyse. La structuration progressive et adaptative de la démarche, les choix des acteurs, des lieux de réalisation des ateliers et le recours à un animateur neutre ont été des facteurs très importants pour l’engagement et la mobilisation des acteurs, en particulier au niveau central, dans cet espace opérationnel de concertation sur les enjeux territoriaux, les pratiques agricoles et les ACES. Ce travail démontre l’intérêt de l’intégration de l’ingénierie de la concertation et de l’évaluation environnementale au sein d’une même démarche et sa faisabilité dans un contexte difficile pour la mise en oeuvre de politiques d’ACES.
In central Tunisia, the agricultural intensification of irrigated agriculture generates local and regional environmental impacts, linked to an increased consumption of inputs and resources, including water and soil. In favor of a more sustainable agriculture and in order to inform public policies of agricultural development, it is necessary to assess the impacts of agricultural practices and water and soil conservation planning (WSCP), and this at the territory scale. The question is how to implement an environmental assessment approach in a context of 1) scarcity of reliable data including statistics, and complexity of farming practices, 2) prominence of socio-economic issues over environmental concerns 3) lack of knowledge of the perception of local actors on these issues and therefore of difficulty in identifying relevant indicators (scientific and of the stakeholders) and mobilizable. We propose an innovative approach to design and implement a participative approach involving different types of actors, to enable them to get more insights into each other's logic and perceptions of the impacts of agricultural practices and WSCP. This approach is designed to produce quality information by valuing local knowledge, share and take into account the perceptions of different stakeholders, and finally, build a consensus to contribute to the development of more effective WSCP policies. This approach has been structured in two main stages: the design of a community of practices articulated to a participatory systemic rapid diagnosis and the implementation of participatory workshops. The evaluation mobilized a dual mechanism including external observers and a satisfaction survey among participants. The survey is based on an evaluation grid of this approach, its outcomes and its short term induced effect. Sharing and taking into account the information and data collected, as well as the expertise and perceptions of the various stakeholders, has made possible to produce information deemed satisfactory or very satisfactory by all the participants. This nourished the knowledge of almost all the stakeholders and contributed to a constructive dynamic of collective learning. Our approach has contributed significantly to the evolution of perceptions and to a stronger mutual understanding between government officials and farmers. A dashboard grouping the indicators mobilized by each stakeholder was discussed and allowed to highlight convergences and differences in their analysis grids. The gradual and adaptive structuring of the approach, the choices of the stakeholders, the venues for the workshops and the use of a neutral facilitator were very important factors for the commitment and the mobilization of the stakeholders, in particular at the central scale, in this operational space for consultation on territorial issues, agricultural practices and WSCP. This work demonstrates the interest of integrating the engineering of consultation and environmental assessment within one approach and its feasibility in a difficult context for the ACES policies implementation.Type de document : Thèse Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197791 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité aucun exemplaire Etude de faisabilité : réalisation de Bilans Carbone en ex post des projets d’atténuation du changement climatique financés par l’Agence Française de Développement / Luc Steinbach (2018)
Titre : Etude de faisabilité : réalisation de Bilans Carbone en ex post des projets d’atténuation du changement climatique financés par l’Agence Française de Développement Type de document : document électronique Auteurs : Luc Steinbach, Auteur ; Claire Chenu, Responsable de stage ; Kenneth Houngbedji, Tuteur ; Claire Bernard, Tuteur Editeur : Paris [France] : AgroParisTech Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (63 p.) Note générale : Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : bilan carbone évaluation banque de développement ex post carbon footprint assessment development bank Résumé : Avec la parution début 2018 de sa stratégie climat-développement 2017-2022, L’AFD annonce qu’elle souhaite renforcer la précision de ses capacités de redevabilité « climat ». Pour monter en puissance sur la question de l’évaluation de projets à co-bénéfices climatiques, le département évaluation et apprentissage (EVA) de l’AFD a réalisé cette étude de faisabilité. Le bilan carbone est un outil bien maitrisé, avant la réalisation d’un projet (ex ante) il sert à estimer les quantités de GES qui seront émises, évitées ou stockées. Cet outil est cependant très peu utilisé après la réalisation d’un projet (ex post). Outre le fait qu’il améliore la redevabilité climatique d’un projet, la capitalisation autour de des résultats d’un bilan carbone ex post pourra à terme permettre d’augmenter l’efficacité climatique des projets à venir. Cette mission a été réalisée dans le cadre d’une collaboration entre le département EVA et la division climat (CLI) de l’AFD. Le champ d’études à été réduit aux projets d’atténuation climatique. Interroger une base de données contenant l’ensemble des projets « climat » financer par l’AFD m’a permis de construire un échantillon de 46 projets sur lesquels la réalisation d’un bilan carbone ex post était faisable. A partir de cet échantillon, j’ai évalué la faisabilité de 13 bilans carbone et couvert une grande partie des types de projets « climat (atténuation) » fiancées par l’AFD. Les résultats de cette étude de faisabilité sont essentiellement empiriques. Les conclusions de cette mission portent sur, (i) La faisabilité technique d’un bilan carbone, (ii) un avis personnel, nourri par des échanges internes, sur l’utilité des bilans ex post, (iii) des propositions d’actions réalisables par l’AFD à moindre coût humain et financier dans le but d’accroitre les compétences de l’agence concernant l’évaluation de projets d’atténuation climatique. 2 des 13 projets sur lesquels a porté l’étude de faisabilité ont pu faire l’objet d’un bilan carbone complet réalisé selon la méthodologie de l’AFD par une personne travaillant au siège et sans connaissances internes de l’établissement. Cette étude empirique a mis en évidence la difficulté à obtenir de manière centralisée des données ex post fiables permettant de réaliser un bilan carbone. L’intérêt de penser le suivi des données utiles à la réalisation d’un bilan ex post à l’amont d’un projet en collaboration avec la division CLI et les chefs de projets. La nécessité de monter en compétences sur les 7 types de projets « climat (atténuation ) » identifiés dans l’étude car leurs représentativités respéctives dans les futures évaluations ex post seront equivalentes. Le bilan carbone ex post d’un projet « climat (atténuation) » financé par l’AFD peut se faire comme un bilan carbone ex ante, les compétences techniques à leur réalisation sont donc présentes à l’AFD. Cependant, la difficulté d’obtention des données de manière centralisée rend impossible leur réalisation de manière systématique. Cette systématicité pourrait de plus être contre-productive car l’intérêt principal de la réalisation d’un bilan carbone ex post est l’apprentissage. Il est donc préconisé dans les années à venir de réaliser des bilans carbone ex post précis, sur un petit nombre des projets sélectionnés. En parallèle il sera intéressant de nourrir les échanges avec la division CLI sur l’amélioration du suivi des indicateurs liés à des projets d’atténuation climatique.
With the publication in early 2018 of its 2017-2022 climate-development strategy, AFD has announced its desire to strengthen the precision of its capacities to be “climate accountable”. To ramp up on the assement of projects with co-climate benefits, AFD's Evaluation and Learning Department (EVA) conducted this feasibility study. The carbon footprint is a well-known tool, before the realization of a project (ex ante) it is used to estimate quantities of GHG that will be emitted, avoided or stored. However, This tool is very little used after project completion (ex post). In addition to improve the accountability of a climate project, the capitalization around the results of an ex post carbon balance will ultimately benefit for the valorisation of future climate projects. This mission was carried out within the framework of the collaboration between the EVA department and the climate division (CLI) of AFD. The field of study has been reduced to climate mitigation projects. The database interrogation on all "climate" projects financed by AFD allowed me to create a sample of 46 projects on which a carbon footprint could be done. From this sample, I evaluated the feasibility of carbon footprint on 13 project, theses assessments allowed me to cover a large part of projects "climate" types. The results of this feasibility study are essentially empirical. The conclusions of this mission are on (i) A technical assessment on calculating carbon footprint of AFD projects at AFD’s headquarter, (ii) a personal opinion, created after internal exchange, on the usefulness of ex post carbon footprint, (iii) proposals of actions achievable by the AFD at lower human and financial cost to ramp up on the assessement of climate migation projects. 2 of the 13 projects on which the feasibility study was carried out were able to be completed according to the AFD methodology by a person working at headquarters and without internal knowledge of AFD. This empirical study has highlighted the difficulty of obtaining centralized reliable ex post data to do a carbon footprint. The interest of thinking about the useful data to realize an ex post carbon footprint at the beginning of a project with the CLI division and project managers. The need to improve AFD assessement skills on the 7 types of "climate (mitigation)" projects identified in the study because they all will be evaulated in the futur. The ex post carbon footprint of a "climate (mitigation)" project financed by AFD can be done like an ex-ante carbon footprint, so the technical skills to achieve them are present at the AFD. However, the difficulty to obtain centralized datas makes it impossible to achieve them systematically. This systematicity could also be counterproductive because the main interest in conducting an ex post carbon footprint is learning. It is therefore recommended in the coming years to realize precise ex post carbon footprint on a small number of selected projects. In parallel of that it will be interesting to exchange with the CLI division on the improvement of the monitoring of indicators related to climate mitigation projects.Note de contenu : 5 rue Roland Barthès, Paris Type de document : Mémoire Confidentiel jusqu'au : 31/12/2021 Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197722 Etude de faisabilité : réalisation de Bilans Carbone en ex post des projets d’atténuation du changement climatique financés par l’Agence Française de Développement [document électronique] / Luc Steinbach, Auteur ; Claire Chenu, Responsable de stage ; Kenneth Houngbedji, Tuteur ; Claire Bernard, Tuteur . - Paris (France) : AgroParisTech, 2018 . - 1 vol. (63 p.).
Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2018
Langues : Français (fre)
Mots-clés : bilan carbone évaluation banque de développement ex post carbon footprint assessment development bank Résumé : Avec la parution début 2018 de sa stratégie climat-développement 2017-2022, L’AFD annonce qu’elle souhaite renforcer la précision de ses capacités de redevabilité « climat ». Pour monter en puissance sur la question de l’évaluation de projets à co-bénéfices climatiques, le département évaluation et apprentissage (EVA) de l’AFD a réalisé cette étude de faisabilité. Le bilan carbone est un outil bien maitrisé, avant la réalisation d’un projet (ex ante) il sert à estimer les quantités de GES qui seront émises, évitées ou stockées. Cet outil est cependant très peu utilisé après la réalisation d’un projet (ex post). Outre le fait qu’il améliore la redevabilité climatique d’un projet, la capitalisation autour de des résultats d’un bilan carbone ex post pourra à terme permettre d’augmenter l’efficacité climatique des projets à venir. Cette mission a été réalisée dans le cadre d’une collaboration entre le département EVA et la division climat (CLI) de l’AFD. Le champ d’études à été réduit aux projets d’atténuation climatique. Interroger une base de données contenant l’ensemble des projets « climat » financer par l’AFD m’a permis de construire un échantillon de 46 projets sur lesquels la réalisation d’un bilan carbone ex post était faisable. A partir de cet échantillon, j’ai évalué la faisabilité de 13 bilans carbone et couvert une grande partie des types de projets « climat (atténuation) » fiancées par l’AFD. Les résultats de cette étude de faisabilité sont essentiellement empiriques. Les conclusions de cette mission portent sur, (i) La faisabilité technique d’un bilan carbone, (ii) un avis personnel, nourri par des échanges internes, sur l’utilité des bilans ex post, (iii) des propositions d’actions réalisables par l’AFD à moindre coût humain et financier dans le but d’accroitre les compétences de l’agence concernant l’évaluation de projets d’atténuation climatique. 2 des 13 projets sur lesquels a porté l’étude de faisabilité ont pu faire l’objet d’un bilan carbone complet réalisé selon la méthodologie de l’AFD par une personne travaillant au siège et sans connaissances internes de l’établissement. Cette étude empirique a mis en évidence la difficulté à obtenir de manière centralisée des données ex post fiables permettant de réaliser un bilan carbone. L’intérêt de penser le suivi des données utiles à la réalisation d’un bilan ex post à l’amont d’un projet en collaboration avec la division CLI et les chefs de projets. La nécessité de monter en compétences sur les 7 types de projets « climat (atténuation ) » identifiés dans l’étude car leurs représentativités respéctives dans les futures évaluations ex post seront equivalentes. Le bilan carbone ex post d’un projet « climat (atténuation) » financé par l’AFD peut se faire comme un bilan carbone ex ante, les compétences techniques à leur réalisation sont donc présentes à l’AFD. Cependant, la difficulté d’obtention des données de manière centralisée rend impossible leur réalisation de manière systématique. Cette systématicité pourrait de plus être contre-productive car l’intérêt principal de la réalisation d’un bilan carbone ex post est l’apprentissage. Il est donc préconisé dans les années à venir de réaliser des bilans carbone ex post précis, sur un petit nombre des projets sélectionnés. En parallèle il sera intéressant de nourrir les échanges avec la division CLI sur l’amélioration du suivi des indicateurs liés à des projets d’atténuation climatique.
With the publication in early 2018 of its 2017-2022 climate-development strategy, AFD has announced its desire to strengthen the precision of its capacities to be “climate accountable”. To ramp up on the assement of projects with co-climate benefits, AFD's Evaluation and Learning Department (EVA) conducted this feasibility study. The carbon footprint is a well-known tool, before the realization of a project (ex ante) it is used to estimate quantities of GHG that will be emitted, avoided or stored. However, This tool is very little used after project completion (ex post). In addition to improve the accountability of a climate project, the capitalization around the results of an ex post carbon balance will ultimately benefit for the valorisation of future climate projects. This mission was carried out within the framework of the collaboration between the EVA department and the climate division (CLI) of AFD. The field of study has been reduced to climate mitigation projects. The database interrogation on all "climate" projects financed by AFD allowed me to create a sample of 46 projects on which a carbon footprint could be done. From this sample, I evaluated the feasibility of carbon footprint on 13 project, theses assessments allowed me to cover a large part of projects "climate" types. The results of this feasibility study are essentially empirical. The conclusions of this mission are on (i) A technical assessment on calculating carbon footprint of AFD projects at AFD’s headquarter, (ii) a personal opinion, created after internal exchange, on the usefulness of ex post carbon footprint, (iii) proposals of actions achievable by the AFD at lower human and financial cost to ramp up on the assessement of climate migation projects. 2 of the 13 projects on which the feasibility study was carried out were able to be completed according to the AFD methodology by a person working at headquarters and without internal knowledge of AFD. This empirical study has highlighted the difficulty of obtaining centralized reliable ex post data to do a carbon footprint. The interest of thinking about the useful data to realize an ex post carbon footprint at the beginning of a project with the CLI division and project managers. The need to improve AFD assessement skills on the 7 types of "climate (mitigation)" projects identified in the study because they all will be evaulated in the futur. The ex post carbon footprint of a "climate (mitigation)" project financed by AFD can be done like an ex-ante carbon footprint, so the technical skills to achieve them are present at the AFD. However, the difficulty to obtain centralized datas makes it impossible to achieve them systematically. This systematicity could also be counterproductive because the main interest in conducting an ex post carbon footprint is learning. It is therefore recommended in the coming years to realize precise ex post carbon footprint on a small number of selected projects. In parallel of that it will be interesting to exchange with the CLI division on the improvement of the monitoring of indicators related to climate mitigation projects.Note de contenu : 5 rue Roland Barthès, Paris Type de document : Mémoire Confidentiel jusqu'au : 31/12/2021 Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197722 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Paris Claude Bernard sans section MEM-3A-2018-STEI Numérique 99999898595 Confidentiel Evaluation des projets et politiques: integrer l'économie et l'environnement / Organisation de coopération et de développement économiques (1994)
Titre : Evaluation des projets et politiques: integrer l'économie et l'environnement Type de document : texte imprimé Auteurs : Organisation de coopération et de développement économiques, Organisateur de réunion, de conférence Editeur : Paris : Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) Année de publication : 1994 Importance : 444 p. Présentation : tableaux, graph. ; Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-92-64-24107-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : RESSOURCES NATURELLES ASPECT ÉCONOMIQUE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE PROJETS ÉVALUATION POLITIQUE DÉVELOPPEMENT DURABLE Note de contenu : Bibliogr. p. 392-444. Notes bibliogr. Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=164751 Evaluation des projets et politiques: integrer l'économie et l'environnement [texte imprimé] / Organisation de coopération et de développement économiques, Organisateur de réunion, de conférence . - Paris : Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 1994 . - 444 p. : tableaux, graph. ; ; 27 cm.
ISBN : 978-92-64-24107-7
Langues : Français (fre)
Mots-clés : RESSOURCES NATURELLES ASPECT ÉCONOMIQUE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE PROJETS ÉVALUATION POLITIQUE DÉVELOPPEMENT DURABLE Note de contenu : Bibliogr. p. 392-444. Notes bibliogr. Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=164751 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Nancy Bibliothèque BETA F1-ORG Papier lef-001029 Empruntable sous conditions Un « tour de France » des exploitations de Haute Valeur Environnementale : confrontation avec 2 outils d’évaluation de l’impact des pratiques agricoles sur l’environnement / Antonin Pépin (2010)
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Titre : Un « tour de France » des exploitations de Haute Valeur Environnementale : confrontation avec 2 outils d’évaluation de l’impact des pratiques agricoles sur l’environnement Type de document : document électronique Auteurs : Antonin Pépin, Auteur ; Agnès Lelièvre, Responsable de stage ; Marie-Catherine Schulz, Tuteur Editeur : Paris [France] : AgroParisTech Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (74 p.) Note générale : Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Haute Valeur Environnementale HVE IDEA IBEA évaluation certification environmental assessment Résumé : La certification « Haute Valeur Environnementale » dite HVE, issue du Grenelle de l’environnement veut valoriser une agriculture économe en intrants et laissant une place conséquente à la nature. L’étude consiste en un « tour de France » des exploitations HVE. Elle met en évidence que l’agriculture HVE existe dans de nombreux milieux et de nombreux systèmes d’exploitations. Elle montre également l’intérêt de l’agriculture HVE pour l’environnement. En effet, les exploitations HVE enquêtées obtiennent de bons scores de durabilité agroécologique selon la méthode IDEA – indicateurs de durabilité des exploitations agricoles. L’outil IBEA, Impact des pratiques agricoles sur la Biodiversité de l’Exploitation Agricole, valide également cette conclusion. Cependant, il est mis en évidence qu’il faut poursuivre l’étude pour montrer que les exploitations n’entrant pas dans la certification sont moins vertueuses pour l’environnement, condition primordiale à la validité des critères HVE. L’étude montre également que le critère HVE relatif aux infrastructures agroécologiques n’est pas discriminant et que son mode de calcul doit être revu. Cette étude apporte également des propositions d’amélioration à l’outil IBEA, qui est encore en phase de test.
The « High Environmental Value » called HVE certification, from the french consortium « Grenelle de l’environnement » is meant to promote low-input farming and farming that gives nature a big place. The study consists in a “tour de France” of HVE farms. It shows that HVE farms exist in many regions and with types of farms. It also shows that HVE farming is interesting for environment. Indeed, HVE farms part of the “tour de France” get good scores of agroecological sustainability with IDEA method – IDEA stands for Indices of farms sustainability. IBEA, a tool evaluating the impact of farming activities on biodiversity tells the same. However, it is highlighted that the study must be continued with a bigger sample of farms, included non-HVE farms, to search if HVE farms are better for the environment than HVE farms. The study also shows that the HVE criteria based on the place for nature in the farm is not efficient, and it must be changed. This study also gives elements to improve IBEA tool, which is still under construction.Note de contenu : France Nature Environnement, 81/83 Boulevard de Port-Royal, 75013 Paris Type de document : Mémoire Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198000 Un « tour de France » des exploitations de Haute Valeur Environnementale : confrontation avec 2 outils d’évaluation de l’impact des pratiques agricoles sur l’environnement [document électronique] / Antonin Pépin, Auteur ; Agnès Lelièvre, Responsable de stage ; Marie-Catherine Schulz, Tuteur . - Paris (France) : AgroParisTech, 2010 . - 1 vol. (74 p.).
Diplôme d'ingénieur AgroParisTech, Mémoire de fin d'études, Dominante d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environnement, Eau, Déchets et Aménagements durables), 2010
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Haute Valeur Environnementale HVE IDEA IBEA évaluation certification environmental assessment Résumé : La certification « Haute Valeur Environnementale » dite HVE, issue du Grenelle de l’environnement veut valoriser une agriculture économe en intrants et laissant une place conséquente à la nature. L’étude consiste en un « tour de France » des exploitations HVE. Elle met en évidence que l’agriculture HVE existe dans de nombreux milieux et de nombreux systèmes d’exploitations. Elle montre également l’intérêt de l’agriculture HVE pour l’environnement. En effet, les exploitations HVE enquêtées obtiennent de bons scores de durabilité agroécologique selon la méthode IDEA – indicateurs de durabilité des exploitations agricoles. L’outil IBEA, Impact des pratiques agricoles sur la Biodiversité de l’Exploitation Agricole, valide également cette conclusion. Cependant, il est mis en évidence qu’il faut poursuivre l’étude pour montrer que les exploitations n’entrant pas dans la certification sont moins vertueuses pour l’environnement, condition primordiale à la validité des critères HVE. L’étude montre également que le critère HVE relatif aux infrastructures agroécologiques n’est pas discriminant et que son mode de calcul doit être revu. Cette étude apporte également des propositions d’amélioration à l’outil IBEA, qui est encore en phase de test.
The « High Environmental Value » called HVE certification, from the french consortium « Grenelle de l’environnement » is meant to promote low-input farming and farming that gives nature a big place. The study consists in a “tour de France” of HVE farms. It shows that HVE farms exist in many regions and with types of farms. It also shows that HVE farming is interesting for environment. Indeed, HVE farms part of the “tour de France” get good scores of agroecological sustainability with IDEA method – IDEA stands for Indices of farms sustainability. IBEA, a tool evaluating the impact of farming activities on biodiversity tells the same. However, it is highlighted that the study must be continued with a bigger sample of farms, included non-HVE farms, to search if HVE farms are better for the environment than HVE farms. The study also shows that the HVE criteria based on the place for nature in the farm is not efficient, and it must be changed. This study also gives elements to improve IBEA tool, which is still under construction.Note de contenu : France Nature Environnement, 81/83 Boulevard de Port-Royal, 75013 Paris Type de document : Mémoire Mémoire filière : Ing. DA : IDEA -- Ingénierie de l’environnement : eau, déchets et aménagements durables Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198000 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Paris Claude Bernard sans section MEM-3A-2010-PEPI Numérique 99999898968 Diffusable Documents numériques
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MEM-3A-2010-PEPIAdobe Acrobat PDF PermalinkProjet collaboratif de Recherche et Développement visant à la conception d’un outil d’aide à la décision dédié à la problématique de définition optimisée des périmètres de protection des captages d’eau potable : phase initiale du projet pour la société CEREG Ingénierie / Maëlle Renoullin (2010)
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