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Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun / Rose Christiane Tonye Nliba (2018)
Titre : Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun Type de document : document électronique Auteurs : Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 109 p.avec annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun [document électronique] / Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 109 p.avec annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_A Numérique 99999899050 Consultable sous conditions Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_B Numérique 99999899051 Consultable sous conditions L'espace comme instrument de l'innovation publique : le cas des open labs dans les institutions publiques de la santé et de la culture / Nicolas Aubouin in Politiques et management public, Vol. 34 n° 3-4 (juillet-décembre 2017)
[article]
in Politiques et management public > Vol. 34 n° 3-4 (juillet-décembre 2017) . - 207-230
Titre : L'espace comme instrument de l'innovation publique : le cas des open labs dans les institutions publiques de la santé et de la culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Aubouin, Auteur ; Alexandra Le Chaffotec, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : 207-230 Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Service public ; Innovations -- Aspect social ; Changement organisationnelRésumé : La mise en place d’ open labs dans des institutions publiques marque une rencontre paradoxale entre, d’un côté, un espace hybride et souple, et de l’autre, une bureaucratie organisationnelle. Cette rencontre tend à questionner une série de frontières entre : I) la sphère publique et marchande, II) l’usager et le concepteur du service, III) la prestation d’un service public et sa création. La construction de tels espaces physiques et virtuels interroge les capacités d’innovation des organisations publiques au prisme des niveaux d’implication des usagers (co - conception/contribution) et du degré d'ouverture de l'espace (ouvert/fermé). À partir d’une étude de cas multiples dans le secteur de la santé et de la culture, nous avons construit une typologie d’open labs mettant en évidence différentes sources de transformation des organisations publiques où sont bousculés les pratiques et rôles de ses membres, en permettant l’hybridation des projets et en ouvrant les frontières des organisations en interne et en externe. Type de document : Article Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=193727 [article] L'espace comme instrument de l'innovation publique : le cas des open labs dans les institutions publiques de la santé et de la culture [texte imprimé] / Nicolas Aubouin, Auteur ; Alexandra Le Chaffotec, Auteur . - 2018 . - 207-230.
Langues : Français (fre)
in Politiques et management public > Vol. 34 n° 3-4 (juillet-décembre 2017) . - 207-230
Catégories : RAMEAU
Service public ; Innovations -- Aspect social ; Changement organisationnelRésumé : La mise en place d’ open labs dans des institutions publiques marque une rencontre paradoxale entre, d’un côté, un espace hybride et souple, et de l’autre, une bureaucratie organisationnelle. Cette rencontre tend à questionner une série de frontières entre : I) la sphère publique et marchande, II) l’usager et le concepteur du service, III) la prestation d’un service public et sa création. La construction de tels espaces physiques et virtuels interroge les capacités d’innovation des organisations publiques au prisme des niveaux d’implication des usagers (co - conception/contribution) et du degré d'ouverture de l'espace (ouvert/fermé). À partir d’une étude de cas multiples dans le secteur de la santé et de la culture, nous avons construit une typologie d’open labs mettant en évidence différentes sources de transformation des organisations publiques où sont bousculés les pratiques et rôles de ses membres, en permettant l’hybridation des projets et en ouvrant les frontières des organisations en interne et en externe. Type de document : Article Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=193727 Etude de la durabilité des services d'eau et d'assainissement dans les "zones de transitions" entre rural et urbain en Tunisie : Etude de cas du GDA de Boushem / Aïcha Haddad (2007-2008)
Titre : Etude de la durabilité des services d'eau et d'assainissement dans les "zones de transitions" entre rural et urbain en Tunisie : Etude de cas du GDA de Boushem Type de document : texte imprimé Auteurs : Aïcha Haddad, Auteur ; Sébastien Treyer, Responsable de stage ; José-Frédéric Deroubaix, Tuteur Editeur : Paris : Ecole des Ponts et Chaussées Année de publication : 2007-2008 Autre Editeur : Paris : Université Paris Diderot - Paris 7 Importance : 1 vol. (52 p.) Note générale : Thèse professionnelle en vue de l'obtention du diplôme de Master "Sciences et Génie de l'Environnement" (SGE) spécialité "systèmes aquatiques et gestion de l'eau" (SAGE), ENPC. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Agrovoc
Environnement rural
RAMEAU
Durabilité ; Eau -- Approvisionnement ; Eaux usées -- Épuration ; Gestion des ressources en eau ; Service public ; TunisieRésumé : Résumé de l'auteur : La présente étude a pour objectif de donner des éléments d'appréciation sur la durabilité à terme et la viabilité des systèmes de gestion des services d'eau potable et d'assainissement en Tunisie. Pour cela, une approche par étapes successives a été mise en oeuvre, pour cibler progressivement un cas d'application et un terrain qui permettent de poser les questions concrètes. Dans ce travail, nous avons exploré la question des limites jusqu'auxquelles doit s'étendre la compétence des acteurs de l'eau et de l'assainissement dans l'espace rural, et nous avons pu montrer que ces limites étaient très liées à des conditions locales spécifiques et à des arrangements organisationnels locaux. Nous avons également soulevé un certain nombre de questions qui semblent essentielles pour pouvoir s'assurer, à l'échelle nationale, que l'ensemble de ces arrangements locaux aboutissent bien à une solution à terme durable pour les services d'eau et d'assainissement en zone rurale. Les différentes étapes de cette démarche exploratoire sont détaillées, elles englobent la description de la gestion actuelle des services de l'eau et de l'assainissement, la justification du choix de la méthodologie, la description des spécificités de la zone d'étude qui sera une base pour nous pour analyser finalement la durabilité technique et socio-économique du système actuel. Note de contenu : Lieu du stage : Agroparistech-ENGREF et au CIRED Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=188409 Etude de la durabilité des services d'eau et d'assainissement dans les "zones de transitions" entre rural et urbain en Tunisie : Etude de cas du GDA de Boushem [texte imprimé] / Aïcha Haddad, Auteur ; Sébastien Treyer, Responsable de stage ; José-Frédéric Deroubaix, Tuteur . - Paris : Ecole des Ponts et Chaussées : Paris : Université Paris Diderot - Paris 7, 2007-2008 . - 1 vol. (52 p.).
Thèse professionnelle en vue de l'obtention du diplôme de Master "Sciences et Génie de l'Environnement" (SGE) spécialité "systèmes aquatiques et gestion de l'eau" (SAGE), ENPC.
Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus Agrovoc
Environnement rural
RAMEAU
Durabilité ; Eau -- Approvisionnement ; Eaux usées -- Épuration ; Gestion des ressources en eau ; Service public ; TunisieRésumé : Résumé de l'auteur : La présente étude a pour objectif de donner des éléments d'appréciation sur la durabilité à terme et la viabilité des systèmes de gestion des services d'eau potable et d'assainissement en Tunisie. Pour cela, une approche par étapes successives a été mise en oeuvre, pour cibler progressivement un cas d'application et un terrain qui permettent de poser les questions concrètes. Dans ce travail, nous avons exploré la question des limites jusqu'auxquelles doit s'étendre la compétence des acteurs de l'eau et de l'assainissement dans l'espace rural, et nous avons pu montrer que ces limites étaient très liées à des conditions locales spécifiques et à des arrangements organisationnels locaux. Nous avons également soulevé un certain nombre de questions qui semblent essentielles pour pouvoir s'assurer, à l'échelle nationale, que l'ensemble de ces arrangements locaux aboutissent bien à une solution à terme durable pour les services d'eau et d'assainissement en zone rurale. Les différentes étapes de cette démarche exploratoire sont détaillées, elles englobent la description de la gestion actuelle des services de l'eau et de l'assainissement, la justification du choix de la méthodologie, la description des spécificités de la zone d'étude qui sera une base pour nous pour analyser finalement la durabilité technique et socio-économique du système actuel. Note de contenu : Lieu du stage : Agroparistech-ENGREF et au CIRED Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=188409 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Bibliothèque Gestion de l'eau 08 EFM HAD Papier 33004000706732 Indisponible temporaitement La gestion d'un service public en Vaucluse : l’organisation structurelle de la compétence "eau" et "assainissement" / Nicolas Bourgeois Romain (2014)
Titre : La gestion d'un service public en Vaucluse : l’organisation structurelle de la compétence "eau" et "assainissement" Type de document : document électronique Auteurs : Nicolas Bourgeois Romain, Auteur ; Gilian Cadic, Tuteur ; Laurent Tixidre Editeur : Montpellier [France] : AgroParisTech Année de publication : 2014 Autre Editeur : Montpellier : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement (Montpellier; FRA) Importance : 1 vol. (64 p.) Note générale : Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Gestion des eaux ; Évacuation des eaux usées ; Drainage ; Ouvrage hydraulique ; Service public ; Administration locale ; structure administrative ; Développement des compétences ; France - VaucluseRésumé : L'objet de ce travail porte sur le fonctionnement structurel d’une collectivité, en charge d’une compétence. Pour en comprendre les mécanismes et leur mise en oeuvre, ce mémoire dresse une analyse fonctionnelle des services publics de l’eau et de l’assainissement. Elle est réalisée sur l’ensemble d’un département afin de composer avec des contraintes géographiques et environnementales diverses. L’étude est menée sur l’ensemble du département du Vaucluse. L’objectif est de déterminer les différents modes de gestion du service public, les collectivités en charge de la compétence eau et assainissement, d’interpréter ces résultats et de mettre en évidence les raisons de cette diversité. Ce document porte également un intérêt aux divers acteurs de l’eau qui participent à différents niveaux à l’organisation et le fonctionnement d’un service public. La dynamique actuelle de l’intercommunalité des communes, en un EPCI, nous amène à comprendre pourquoi cette volonté de se regrouper et à analyser pour quelles raisons certaines communes conservent leur compétence au lieu de les transférer. A partir, des éléments étudiés, cet écrit émet certaines hypothèses sur l’évolution possible de l’organisation d’un service public d’eau ou d’assainissement tout en tenant compte des réformes territoriales Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186713 La gestion d'un service public en Vaucluse : l’organisation structurelle de la compétence "eau" et "assainissement" [document électronique] / Nicolas Bourgeois Romain, Auteur ; Gilian Cadic, Tuteur ; Laurent Tixidre . - Montpellier (France) : AgroParisTech : Montpellier : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement (Montpellier; FRA), 2014 . - 1 vol. (64 p.).
Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Gestion des eaux ; Évacuation des eaux usées ; Drainage ; Ouvrage hydraulique ; Service public ; Administration locale ; structure administrative ; Développement des compétences ; France - VaucluseRésumé : L'objet de ce travail porte sur le fonctionnement structurel d’une collectivité, en charge d’une compétence. Pour en comprendre les mécanismes et leur mise en oeuvre, ce mémoire dresse une analyse fonctionnelle des services publics de l’eau et de l’assainissement. Elle est réalisée sur l’ensemble d’un département afin de composer avec des contraintes géographiques et environnementales diverses. L’étude est menée sur l’ensemble du département du Vaucluse. L’objectif est de déterminer les différents modes de gestion du service public, les collectivités en charge de la compétence eau et assainissement, d’interpréter ces résultats et de mettre en évidence les raisons de cette diversité. Ce document porte également un intérêt aux divers acteurs de l’eau qui participent à différents niveaux à l’organisation et le fonctionnement d’un service public. La dynamique actuelle de l’intercommunalité des communes, en un EPCI, nous amène à comprendre pourquoi cette volonté de se regrouper et à analyser pour quelles raisons certaines communes conservent leur compétence au lieu de les transférer. A partir, des éléments étudiés, cet écrit émet certaines hypothèses sur l’évolution possible de l’organisation d’un service public d’eau ou d’assainissement tout en tenant compte des réformes territoriales Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186713 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-14 ES BOU Numérique 43677 Consultable sous conditions La prise en compte des risques littoraux au sein des politiques publiques de planification territoriale. Le cas du Sud Biterrois / Aurore Druelles (2018)
Titre : La prise en compte des risques littoraux au sein des politiques publiques de planification territoriale. Le cas du Sud Biterrois Type de document : document électronique Auteurs : Aurore Druelles ; Sophie Richard, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 59 p. + annexes 54 p. Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Côtes ; Sol littoral ; Érosion ; Analyse du risque ; Service public ; Gestion intégrée ; Gestion de l'environnement ; Gestion du risque ; Gouvernance ; France - Hérault, BéziersRésumé : Le littoral est un territoire prisé qui regroupe de nombreux enjeux, et contribue à l’attractivité touristique des côtes françaises. Il est pourtant menacé par les phénomènes naturels d’érosion côtière et de submersion marine. Sur la façade méditerranéenne et plus particulièrement en Languedoc, le développement économique et l’urbanisation progressive du littoral, réalisés dès les années 1960 par la Mission Racine a conduit à l’exposition des enjeux humains et matériels à des risques littoraux, qui sont aujourd’hui de plus en plus prégnants du fait du changement climatique. Dans ce contexte, notre objectif est d’analyser l’évolution de la prise en compte des risques littoraux au sein de la planification territoriale et plus globalement des politiques publiques. Les méthodes de gestion des risques littoraux ont par ailleurs subi de nombreuses évolutions, tâtonnant entre une gestion assez dure de protection et des méthodes douces d’ingénierie écologique. De nouvelles perspectives se dessinent autour de nouvelles réflexions envisageant une recomposition spatiale et un déplacement des enjeux en dehors des zones à risques. Cependant, les différents acteurs peinent à mettre en place ces réflexions s’apparentant à un sentiment de recul face à la mer et en quelques sortes synonyme de renoncement. Au-delà des difficultés pour adhérer à ces nouvelles méthodes, d’autres facteurs entrent en ligne de compte, à la fois sur le plan économique mais également social et politique. En effet, le financement de ces opérations d’anticipation est très couteux et la recomposition spatiale sous-entend la nécessité de modifier une économie initialement basée sur le tourisme littoral. L’acceptation sociale de la notion de recul est complexe et peu valorisable politiquement. Les outils de planification tels que les Plans de Prévention des Risques Littoraux (PPRl) ainsi que les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) ont permis une amélioration de la prise en compte de l’érosion côtière et de la submersion marine, mais la problématique reste entière pour le bâti existant en zones à risque. La planification territoriale en cours d’évolution (SCoT, SRADDET) doit donc relever le défi de la gestion des risques littoraux au travers des instruments et documents d’urbanisme afin d’envisager un projet de territoire qui permettrait à la fois d’assurer la sécurité de biens et des personnes et de se projeter sur un littoral réinventé. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198026 La prise en compte des risques littoraux au sein des politiques publiques de planification territoriale. Le cas du Sud Biterrois [document électronique] / Aurore Druelles ; Sophie Richard, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 59 p. + annexes 54 p.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Côtes ; Sol littoral ; Érosion ; Analyse du risque ; Service public ; Gestion intégrée ; Gestion de l'environnement ; Gestion du risque ; Gouvernance ; France - Hérault, BéziersRésumé : Le littoral est un territoire prisé qui regroupe de nombreux enjeux, et contribue à l’attractivité touristique des côtes françaises. Il est pourtant menacé par les phénomènes naturels d’érosion côtière et de submersion marine. Sur la façade méditerranéenne et plus particulièrement en Languedoc, le développement économique et l’urbanisation progressive du littoral, réalisés dès les années 1960 par la Mission Racine a conduit à l’exposition des enjeux humains et matériels à des risques littoraux, qui sont aujourd’hui de plus en plus prégnants du fait du changement climatique. Dans ce contexte, notre objectif est d’analyser l’évolution de la prise en compte des risques littoraux au sein de la planification territoriale et plus globalement des politiques publiques. Les méthodes de gestion des risques littoraux ont par ailleurs subi de nombreuses évolutions, tâtonnant entre une gestion assez dure de protection et des méthodes douces d’ingénierie écologique. De nouvelles perspectives se dessinent autour de nouvelles réflexions envisageant une recomposition spatiale et un déplacement des enjeux en dehors des zones à risques. Cependant, les différents acteurs peinent à mettre en place ces réflexions s’apparentant à un sentiment de recul face à la mer et en quelques sortes synonyme de renoncement. Au-delà des difficultés pour adhérer à ces nouvelles méthodes, d’autres facteurs entrent en ligne de compte, à la fois sur le plan économique mais également social et politique. En effet, le financement de ces opérations d’anticipation est très couteux et la recomposition spatiale sous-entend la nécessité de modifier une économie initialement basée sur le tourisme littoral. L’acceptation sociale de la notion de recul est complexe et peu valorisable politiquement. Les outils de planification tels que les Plans de Prévention des Risques Littoraux (PPRl) ainsi que les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) ont permis une amélioration de la prise en compte de l’érosion côtière et de la submersion marine, mais la problématique reste entière pour le bâti existant en zones à risque. La planification territoriale en cours d’évolution (SCoT, SRADDET) doit donc relever le défi de la gestion des risques littoraux au travers des instruments et documents d’urbanisme afin d’envisager un projet de territoire qui permettrait à la fois d’assurer la sécurité de biens et des personnes et de se projeter sur un littoral réinventé. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198026 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES DRU_A Numérique 99999899064 Consultable sous conditions Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES DRU_B Numérique 99999899065 Consultable sous conditions Rapport d'évaluation de la politique de l'eau en France : "mobiliser les territoires pour inventer le nouveau service public de l'eau et atteindre nos objectifs de qualité" (2013)
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