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Analyse du rapport de compatibilité entre SAGE et documents d'urbanisme : l'exemple de l'intégration des enjeux du SAGE de la Canche sur la préservation des zones humides dans les documents d'urbanisme / Lisa Clémot (2014)
Titre : Analyse du rapport de compatibilité entre SAGE et documents d'urbanisme : l'exemple de l'intégration des enjeux du SAGE de la Canche sur la préservation des zones humides dans les documents d'urbanisme Type de document : document électronique Auteurs : Lisa Clémot, Auteur ; Alexandre Brun, Tuteur ; Valérie Chérigié, Responsable de stage Editeur : Montpellier [France] : AgroParisTech Année de publication : 2014 Autre Editeur : Montpellier : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement (Montpellier; FRA) Importance : 1 vol. (69 p.) Note générale : Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Gestion des eaux ; Zone humide ; Urbanisme ; Administration locale ; Évaluation ; France - Nord Pas de CalaisRésumé : La reconnaissance des liens entre les domaines de l’urbanisme et de l’environnement au cours des dernières années a permis une amélioration de l’intégration des enjeux de gestion de l’eau dans la planification urbaine. La création d’un rapport de compatibilité reliant les documents d’urbanisme aux SAGE oblige ainsi les collectivités locales à prendre part à la gestion de l’eau dans le cadre de la réalisation de leurs documents d’urbanisme. Au travers de l’exemple des enjeux de préservation des zones humides exposés dans le SAGE du bassin versant de la Canche en Pas-de-Calais, ce mémoire expose les limites du rapport de compatibilité et des procédures reliant les documents d’urbanisme au SAGE Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186716 Analyse du rapport de compatibilité entre SAGE et documents d'urbanisme : l'exemple de l'intégration des enjeux du SAGE de la Canche sur la préservation des zones humides dans les documents d'urbanisme [document électronique] / Lisa Clémot, Auteur ; Alexandre Brun, Tuteur ; Valérie Chérigié, Responsable de stage . - Montpellier (France) : AgroParisTech : Montpellier : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement (Montpellier; FRA), 2014 . - 1 vol. (69 p.).
Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Gestion des eaux ; Zone humide ; Urbanisme ; Administration locale ; Évaluation ; France - Nord Pas de CalaisRésumé : La reconnaissance des liens entre les domaines de l’urbanisme et de l’environnement au cours des dernières années a permis une amélioration de l’intégration des enjeux de gestion de l’eau dans la planification urbaine. La création d’un rapport de compatibilité reliant les documents d’urbanisme aux SAGE oblige ainsi les collectivités locales à prendre part à la gestion de l’eau dans le cadre de la réalisation de leurs documents d’urbanisme. Au travers de l’exemple des enjeux de préservation des zones humides exposés dans le SAGE du bassin versant de la Canche en Pas-de-Calais, ce mémoire expose les limites du rapport de compatibilité et des procédures reliant les documents d’urbanisme au SAGE Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186716 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-14 ES CLE Numérique 43667 Consultable sous conditions Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun / Rose Christiane Tonye Nliba (2018)
Titre : Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun Type de document : document électronique Auteurs : Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 109 p.avec annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun [document électronique] / Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 109 p.avec annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_A Numérique 99999899050 Consultable sous conditions Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_B Numérique 99999899051 Consultable sous conditions Calculs des services écosystémiques liés à la quantité d’eau sur le campus de l’Université Paul Sabatier / Grégoire Gualchierotti (2018)
Titre : Calculs des services écosystémiques liés à la quantité d’eau sur le campus de l’Université Paul Sabatier Type de document : document électronique Auteurs : Grégoire Gualchierotti ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 51 p. Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Environnement ; Gestion intégrée ; Gestion des eaux ; Approvisionnement en eau ; Expérimentation ; Simulation ; ÉvaluationRésumé : L’eau est une ressource naturelle limitée qui donne lieu à de multiples usages. Dans le cadre de neOCampus, le campus UT3 peut servir de petit bassin versant de milieu semi- anthropisé pour tester à l’échelle locale des scénarios d’offres et de demandes de cette ressource. Les espaces naturels apportent des bénéfices ou services écosystémiques (SE) qui aident à la disponibilité et la régulation de cette ressource. L’IPBES (International Platform for Biodiversity and Ecosystem Services) statue en 2018 sur l’importance d’actions de démonstration des bénéfices retirés par notre société grâce au maintien d’espaces naturels fonctionnels (IPBES 2018). L’évaluation de ces services en relation avec l’eau permet de mieux comprendre quelle est la contribution des espaces naturels dans la disponibilité de cette ressource sur un territoire. Il s’agit également de démontrer comment les espaces naturels participent à la régulation des flux d’eau et au maintien du bien-être économique et social d’un territoire (De Groot et al, 2002). Les recherches dans ce stage ont porté sur la quantification des services d’approvisionnement et de régulation de la quantité d’eau sur un petit bassin versant. Durant le stage nous avons quantifié que 564 000 m3 d’eau de pluie tombent sur le campus, 300 000 m3 s’intègrent dans le processus naturel d’évapotranspiration. Et alors que les terrains de sport sont arrosés avec de l’eau de ville, ce sont 250 000 m3 qui ruissellent sur les surfaces imperméables, alors que l’eau qui arrive sur les espaces verts est utilisée en majeure partie par la végétation. Cette eau de ruissellement dont la valeur économique a été estimée à presque 1 million d’euros est aujourd’hui stockée dans des cuves de rétention avant son déversement dans le Canal du Midi. Cette approche soulève des questions dont les réponses seront testées sur notre campus : Comment ces connaissances sont-elles utiles pour la gestion de l’eau à cette échelle ? Nos résultats représentent-ils un support utile pour des discussions collectives permettant d’aborder des questions concrètes de gestion de l’eau ? Pour aborder ce sujet, nous avons ouvert un espace de dialogue et de concertation avec la constitution du groupe de travail eaÛCampus en parallèle des recherches menées sur les flux et SE de l’eau. L’ensemble des acteurs concernés par l’usage de l’eau et la gestion des milieux naturels du campus (UT3, SGE, Associations d’étudiants, ..) a été mis à contribution dans le cadre de ce GT pour recueillir l’éventail des scénarios de gestion possibles sur le campus. Des indices permettant d’évaluer le niveau de soutenabilité et acceptabilité ont été testés sur un échantillon d’idées pour mesurer la sensibilité de ces indices et positionner ces propositions dans un triptyque de valeurs économiques, environnementales et sociétales. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198029 Calculs des services écosystémiques liés à la quantité d’eau sur le campus de l’Université Paul Sabatier [document électronique] / Grégoire Gualchierotti ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 51 p.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Environnement ; Gestion intégrée ; Gestion des eaux ; Approvisionnement en eau ; Expérimentation ; Simulation ; ÉvaluationRésumé : L’eau est une ressource naturelle limitée qui donne lieu à de multiples usages. Dans le cadre de neOCampus, le campus UT3 peut servir de petit bassin versant de milieu semi- anthropisé pour tester à l’échelle locale des scénarios d’offres et de demandes de cette ressource. Les espaces naturels apportent des bénéfices ou services écosystémiques (SE) qui aident à la disponibilité et la régulation de cette ressource. L’IPBES (International Platform for Biodiversity and Ecosystem Services) statue en 2018 sur l’importance d’actions de démonstration des bénéfices retirés par notre société grâce au maintien d’espaces naturels fonctionnels (IPBES 2018). L’évaluation de ces services en relation avec l’eau permet de mieux comprendre quelle est la contribution des espaces naturels dans la disponibilité de cette ressource sur un territoire. Il s’agit également de démontrer comment les espaces naturels participent à la régulation des flux d’eau et au maintien du bien-être économique et social d’un territoire (De Groot et al, 2002). Les recherches dans ce stage ont porté sur la quantification des services d’approvisionnement et de régulation de la quantité d’eau sur un petit bassin versant. Durant le stage nous avons quantifié que 564 000 m3 d’eau de pluie tombent sur le campus, 300 000 m3 s’intègrent dans le processus naturel d’évapotranspiration. Et alors que les terrains de sport sont arrosés avec de l’eau de ville, ce sont 250 000 m3 qui ruissellent sur les surfaces imperméables, alors que l’eau qui arrive sur les espaces verts est utilisée en majeure partie par la végétation. Cette eau de ruissellement dont la valeur économique a été estimée à presque 1 million d’euros est aujourd’hui stockée dans des cuves de rétention avant son déversement dans le Canal du Midi. Cette approche soulève des questions dont les réponses seront testées sur notre campus : Comment ces connaissances sont-elles utiles pour la gestion de l’eau à cette échelle ? Nos résultats représentent-ils un support utile pour des discussions collectives permettant d’aborder des questions concrètes de gestion de l’eau ? Pour aborder ce sujet, nous avons ouvert un espace de dialogue et de concertation avec la constitution du groupe de travail eaÛCampus en parallèle des recherches menées sur les flux et SE de l’eau. L’ensemble des acteurs concernés par l’usage de l’eau et la gestion des milieux naturels du campus (UT3, SGE, Associations d’étudiants, ..) a été mis à contribution dans le cadre de ce GT pour recueillir l’éventail des scénarios de gestion possibles sur le campus. Des indices permettant d’évaluer le niveau de soutenabilité et acceptabilité ont été testés sur un échantillon d’idées pour mesurer la sensibilité de ces indices et positionner ces propositions dans un triptyque de valeurs économiques, environnementales et sociétales. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198029 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES GUA Numérique 99999899052 Consultable sous conditions La caractérisation des écoulements sur le bassin versant du Suran, une étape dans l’élaboration d’un outil d’aide à la décision pour la gestion des cours d'eau / Jérémie Desamber (2015)
Titre : La caractérisation des écoulements sur le bassin versant du Suran, une étape dans l’élaboration d’un outil d’aide à la décision pour la gestion des cours d'eau Type de document : document électronique Auteurs : Jérémie Desamber, Auteur ; Patrice Garin, Tuteur ; Marie Vasseur, Responsable de stage Editeur : Montpellier [France] : AgroParisTech Année de publication : 2015 Autre Editeur : Montpellier [France] : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement Importance : 1 vol. (118 p.) Note générale : Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Bassin versant ; Cours d'eau ; Zone humide ; Enquête ; Réglementation des eaux ; Gestion des eaux ; Système d'aide à la décision ; Jura (France)Résumé : L’amont du bassin versant du Suran est un territoire rural agricole ou les écoulements ont fortement été drainés et remaniés au cours des dernières décennies. Le Syndicat Mixte Interdépartemental du Suran et de ses Affluents a donc exploité une demande locale sur la caractérisation des écoulements pour y répondre à travers ce stage et apporter une plus-value afin d’oeuvrer dans l’intérêt général à l’atteinte et le maintien du bon état écologique. Ce document présente les deux principales phases de cette étude. La première consiste à inventorier les écoulements (cours d’eau/fossés) sur 17 communes jurassiennes du bassin versant du Suran. La collecte de données effectuée lors de cette phase a permis de créer un outil d’aide à la décision pour la gestion des écoulements observés. Plusieurs étapes intermédiaires ont étés nécessaires pour arriver à ce résultat qui permet de hiérarchiser les actions de gestion pour le territoire et le gestionnaire Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186734 La caractérisation des écoulements sur le bassin versant du Suran, une étape dans l’élaboration d’un outil d’aide à la décision pour la gestion des cours d'eau [document électronique] / Jérémie Desamber, Auteur ; Patrice Garin, Tuteur ; Marie Vasseur, Responsable de stage . - Montpellier (France) : AgroParisTech : Montpellier (France) : Montpellier SupAgro - Département STEE, Sciences de la Terre, de l'Eau et de l'Environnement, 2015 . - 1 vol. (118 p.).
Stage de fin d'étude de la formation Master Eau Spécialité Eau et Société
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Bassin versant ; Cours d'eau ; Zone humide ; Enquête ; Réglementation des eaux ; Gestion des eaux ; Système d'aide à la décision ; Jura (France)Résumé : L’amont du bassin versant du Suran est un territoire rural agricole ou les écoulements ont fortement été drainés et remaniés au cours des dernières décennies. Le Syndicat Mixte Interdépartemental du Suran et de ses Affluents a donc exploité une demande locale sur la caractérisation des écoulements pour y répondre à travers ce stage et apporter une plus-value afin d’oeuvrer dans l’intérêt général à l’atteinte et le maintien du bon état écologique. Ce document présente les deux principales phases de cette étude. La première consiste à inventorier les écoulements (cours d’eau/fossés) sur 17 communes jurassiennes du bassin versant du Suran. La collecte de données effectuée lors de cette phase a permis de créer un outil d’aide à la décision pour la gestion des écoulements observés. Plusieurs étapes intermédiaires ont étés nécessaires pour arriver à ce résultat qui permet de hiérarchiser les actions de gestion pour le territoire et le gestionnaire Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186734 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-15 ES DES Numérique 43669 Consultable sous conditions Caractérisation des prélèvements directs en rivière et des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires (Dunière, Boyon) et sensible (Glo) du bassin de l’Eyrieux et proposition de pistes de solutions alternatives (07) : étude de 12 cas / Rindramalala Razafimamonjy (2018)
Titre : Caractérisation des prélèvements directs en rivière et des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires (Dunière, Boyon) et sensible (Glo) du bassin de l’Eyrieux et proposition de pistes de solutions alternatives (07) : étude de 12 cas Type de document : document électronique Auteurs : Rindramalala Razafimamonjy ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA) ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) Année de publication : 2018 Importance : 58 p. Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Bassin versant ; Gestion des eaux ; Captage d'eau ; Cours d'eau ; Étude de cas ; Prélèvement ; France - ArdècheRésumé : Situé dans le département de l’Ardèche, le bassin versant de l’Eyrieux a été identifié par le SDAGE Rhône-Méditerranée 2016 – 2021 en situation de déséquilibre quantitatif. En période d’étiage, la disponibilité de la ressource en eau ne satisfait pas l’ensemble des usages et ne permet pas de garantir le besoin du milieu aquatique. Plusieurs actions ont été menées sur le territoire pour résorber ce déséquilibre quantitatif. L’Étude des Volumes Prélevables de 2012 constitue une étape importante dans cette démarche. Elle a permis de proposer des volumes prélevables maximum à atteindre par usage à l’étiage pour satisfaire l’ensemble des usagers (eau potable, irrigation et industrie) tout en préservant les milieux aquatiques. Elle a également servi de base dans l’élaboration en 2017 du Plan de Gestion de la
Ressource en Eau des bassins de l’Eyrieux, de l’Embroye et du Turzon. Le Syndicat Mixte Eyrieux Clair au Cheylard vise à mettre en oeuvre plusieurs actions pour contribuer à l’atteinte de l’équilibre quantitatif au travers notamment du second contrat de rivière. Un des volets de ce contrat concerne la gestion
quantitative de l’eau. Le stage que j’ai effectué au syndicat entre le mois d’avril et août 2018 s’insère dans ce contexte. Le sujet de ce stage porte sur la « Caractérisation des prélèvements directs en rivière et/ou des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires de l'Eyrieux et la proposition de pistes de
solutions alternatives pour résorber les déficits quantitatifs ». Malgré la complexité de l’étude et le manque de temps suffisant pour sa réalisation, les résultats obtenus sont conséquents et répondent aux objectifs fixés. Toutefois, il y a une nécessité de poursuivre cette étude afin d’identifier les futurs projets à mettre en place sur le territoireType de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198039 Caractérisation des prélèvements directs en rivière et des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires (Dunière, Boyon) et sensible (Glo) du bassin de l’Eyrieux et proposition de pistes de solutions alternatives (07) : étude de 12 cas [document électronique] / Rindramalala Razafimamonjy ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA) ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) . - 2018 . - 58 p.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Ressource en eau ; Bassin versant ; Gestion des eaux ; Captage d'eau ; Cours d'eau ; Étude de cas ; Prélèvement ; France - ArdècheRésumé : Situé dans le département de l’Ardèche, le bassin versant de l’Eyrieux a été identifié par le SDAGE Rhône-Méditerranée 2016 – 2021 en situation de déséquilibre quantitatif. En période d’étiage, la disponibilité de la ressource en eau ne satisfait pas l’ensemble des usages et ne permet pas de garantir le besoin du milieu aquatique. Plusieurs actions ont été menées sur le territoire pour résorber ce déséquilibre quantitatif. L’Étude des Volumes Prélevables de 2012 constitue une étape importante dans cette démarche. Elle a permis de proposer des volumes prélevables maximum à atteindre par usage à l’étiage pour satisfaire l’ensemble des usagers (eau potable, irrigation et industrie) tout en préservant les milieux aquatiques. Elle a également servi de base dans l’élaboration en 2017 du Plan de Gestion de la
Ressource en Eau des bassins de l’Eyrieux, de l’Embroye et du Turzon. Le Syndicat Mixte Eyrieux Clair au Cheylard vise à mettre en oeuvre plusieurs actions pour contribuer à l’atteinte de l’équilibre quantitatif au travers notamment du second contrat de rivière. Un des volets de ce contrat concerne la gestion
quantitative de l’eau. Le stage que j’ai effectué au syndicat entre le mois d’avril et août 2018 s’insère dans ce contexte. Le sujet de ce stage porte sur la « Caractérisation des prélèvements directs en rivière et/ou des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires de l'Eyrieux et la proposition de pistes de
solutions alternatives pour résorber les déficits quantitatifs ». Malgré la complexité de l’étude et le manque de temps suffisant pour sa réalisation, les résultats obtenus sont conséquents et répondent aux objectifs fixés. Toutefois, il y a une nécessité de poursuivre cette étude afin d’identifier les futurs projets à mettre en place sur le territoireType de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198039 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES RAZ Numérique 99999899053 Consultable sous conditions Les conditions de réussite de la gestion quantitative locale et décentralisée des ressources en eau souterraines : études de cas de gestion des nappes dans le bassin méditerranéen / Juliette Fradet (2014)
PermalinkLes diagnostics et plans de gestion sont-ils efficaces pour répondre aux objectifs de la Directive Cadre Européenne concernant la qualité des masses d’eau ? : retours d’expériences du diagnostic des étangs dans les Bouches du Rhône et du plan de gestion des salins d’Hyères et presqu’île de Giens / Nicolas Fantino (2018)
PermalinkElaboration du plan de gestion suite à la renaturation du lac inférieur de Laubesc et du ruisseau de Gahet / Clément Béracochéa (2015)
PermalinkPermalinkEvaluation des services rendus par les aménagements végétalisés de gestion des eaux pluviales / Quentin Robiquet (2018)
PermalinkLa gestion d'un service public en Vaucluse : l’organisation structurelle de la compétence "eau" et "assainissement" / Nicolas Bourgeois Romain (2014)
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PermalinkMaintenance et drainage: développement et test d’un instrument de discussion sur la gestion du périmètre irrigué de Chókwè / Mario Rizzolio (2014)
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PermalinkLa prise en compte des zones humides de Guyane Française dans l'aménagement du territoire : entre gestion de l'eau et urbanisation croissante, quelle est la place des zones humides dans la société et les politiques de gestion des milieux / Jessica Sutra (2015)
PermalinkThe water framework directive in Europe : implementation of the river basin management plans, programmes of measures, and local tools in France and eight other countries (BE, DE, ES, FI, IT, LU, NL, SE) / Sarah Loudin (2014)
PermalinkLes usages de l’eau du Verdon : entre développement régional et régulation locale / Thomas Landat (2014)
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