Détail de l'auteur
Auteur Université de Montpellier (Montpellier; FRA) |
Documents disponibles écrits par cet auteur



L'accompagnement des communes dans l'élaboration de leur PCS : une méthodologie adaptée aux communes rurales du Pas-de-Calais / Martine Bayer (2018)
Titre : L'accompagnement des communes dans l'élaboration de leur PCS : une méthodologie adaptée aux communes rurales du Pas-de-Calais Type de document : document électronique Auteurs : Martine Bayer ; Flavie Cernesson, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Sophie Richard, Directeur de mémoire ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 82 p. Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Bassin versant ; Inondation ; Gestion du risque ; Dispositif de sécurité ; Administration locale ; Aide au développement ; Aide à la décision ; Méthodologie ; France - Nord Pas de CalaisRésumé : La bassin versant de la Canche est exposé au risque inondation et plus précisément débordement de la Canche, et au phénomène de ruissellement. Depuis 2003, le PPRI de la Canche reconnaît l'existence du risque inondation, et touche 21 communes aux abords du fleuve. Les communes concernées ont alors l'obligation de réaliser leur Plan Communal de sauvegarde (PCS) afin de répondre aux nouvelles normes en matière de sécurité civile. Cependant, 5 d'entre elles n'ont à jour pas encore mis en place leur plan de sauvegarde. Ce rapport porte sur l'origine du retard de ces communes et sur la méthodologie d'accompagnement à adopter dans ce cas de figure. Pour cela nous avons effectué un diagnostique territorial axé sur la recherche des risques, mais aussi sur les caractéristiques des élus locaux. L'objectif est de mettre en lumière le discours des élus pour analyser le rapport qu’ils entretiennent avec l'action publique et comprendre cette réticence envers la gestion des risques. Ce mémoire s'inscrit dans le projet de recherche d'une méthodologie d'accompagnement globale qui puisse à la fois être utile aux 5 communes, mais aussi aux autres communes du Pas- de-calais. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198022 L'accompagnement des communes dans l'élaboration de leur PCS : une méthodologie adaptée aux communes rurales du Pas-de-Calais [document électronique] / Martine Bayer ; Flavie Cernesson, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Sophie Richard, Directeur de mémoire ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 82 p.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Bassin versant ; Inondation ; Gestion du risque ; Dispositif de sécurité ; Administration locale ; Aide au développement ; Aide à la décision ; Méthodologie ; France - Nord Pas de CalaisRésumé : La bassin versant de la Canche est exposé au risque inondation et plus précisément débordement de la Canche, et au phénomène de ruissellement. Depuis 2003, le PPRI de la Canche reconnaît l'existence du risque inondation, et touche 21 communes aux abords du fleuve. Les communes concernées ont alors l'obligation de réaliser leur Plan Communal de sauvegarde (PCS) afin de répondre aux nouvelles normes en matière de sécurité civile. Cependant, 5 d'entre elles n'ont à jour pas encore mis en place leur plan de sauvegarde. Ce rapport porte sur l'origine du retard de ces communes et sur la méthodologie d'accompagnement à adopter dans ce cas de figure. Pour cela nous avons effectué un diagnostique territorial axé sur la recherche des risques, mais aussi sur les caractéristiques des élus locaux. L'objectif est de mettre en lumière le discours des élus pour analyser le rapport qu’ils entretiennent avec l'action publique et comprendre cette réticence envers la gestion des risques. Ce mémoire s'inscrit dans le projet de recherche d'une méthodologie d'accompagnement globale qui puisse à la fois être utile aux 5 communes, mais aussi aux autres communes du Pas- de-calais. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198022 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES BAY Numérique 99999899048 Consultable sous conditions
Titre : Adaptation du modèle SARRA-H à de nouvelles cultures en zones tropicales Type de document : document électronique Auteurs : Thomas Gendron ; Jean-Stéphane Bailly, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; UMR TETIS INRA (Montpellier; FRA), Ancien possesseur Année de publication : 2018 Importance : 56 p.+annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Agriculture Catégories : RAMEAU
Modélisation des cultures ; Calibration ; Dynamique de la végétation ; Coton ; Climat tropicalRésumé : L’objectif de ce stage consiste à savoir si la calibration croisée est une technique possible pour intégrer de nouvelles cultures dans un modèle de culture,sans pour autant passer par les étapes traditionnelles de calibration à partir de données expérimentales et/ou de terrain. Durant ce stage nous avons ainsi réalisé deux calibrations croisées entre modèles, l’une de SARRA-H vers AquaCrop et l’autre de DSSAT vers SARRA-H. Pour ce faire,nous avons dû étudier les modèles en question, comprendre leurs fonctionnements, processus et paramètres en jeu,puis déterminer leurs similitudes et leurs différences.L’utilisation d’un modèle référent pour «calibrer» une nouvelle espèce est possible et c’est ce que nous avons pu montrer dans le cadre de ce stage avec le coton. Les dynamiques des variables clefs simulées par le modèle DSSAT ont été la base d’une calibration manuelle et ont pu être reproduites, après adaptation d’un des processus du modèle SARRA-H. D’autre part pour éviter les effets de biais possible,nous avons vérifié la capacité prédictive du modèle SARRA-H après calibration croisée avec les données observées ayant servi à la calibration du modèle référent. Cela s’est traduit de fait par un nouveau jeu de calibration, certaines dynamiques, notamment le LAI, n’étant pas respectées. Il est à noter que de fait la démarche de calibration croisée à partir de modèles référents est une démarche qui semble nouvelle en fonction de nos connaissances. L’intérêt principal de notre étude, outre l’intégration du coton à SARRA-H, aura été d’éclaircir ce qui était possible ou non avec la calibration croisée et d’en souligner les raisons principales. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197984 Adaptation du modèle SARRA-H à de nouvelles cultures en zones tropicales [document électronique] / Thomas Gendron ; Jean-Stéphane Bailly, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; UMR TETIS INRA (Montpellier; FRA), Ancien possesseur . - 2018 . - 56 p.+annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Agriculture
Catégories : RAMEAU
Modélisation des cultures ; Calibration ; Dynamique de la végétation ; Coton ; Climat tropicalRésumé : L’objectif de ce stage consiste à savoir si la calibration croisée est une technique possible pour intégrer de nouvelles cultures dans un modèle de culture,sans pour autant passer par les étapes traditionnelles de calibration à partir de données expérimentales et/ou de terrain. Durant ce stage nous avons ainsi réalisé deux calibrations croisées entre modèles, l’une de SARRA-H vers AquaCrop et l’autre de DSSAT vers SARRA-H. Pour ce faire,nous avons dû étudier les modèles en question, comprendre leurs fonctionnements, processus et paramètres en jeu,puis déterminer leurs similitudes et leurs différences.L’utilisation d’un modèle référent pour «calibrer» une nouvelle espèce est possible et c’est ce que nous avons pu montrer dans le cadre de ce stage avec le coton. Les dynamiques des variables clefs simulées par le modèle DSSAT ont été la base d’une calibration manuelle et ont pu être reproduites, après adaptation d’un des processus du modèle SARRA-H. D’autre part pour éviter les effets de biais possible,nous avons vérifié la capacité prédictive du modèle SARRA-H après calibration croisée avec les données observées ayant servi à la calibration du modèle référent. Cela s’est traduit de fait par un nouveau jeu de calibration, certaines dynamiques, notamment le LAI, n’étant pas respectées. Il est à noter que de fait la démarche de calibration croisée à partir de modèles référents est une démarche qui semble nouvelle en fonction de nos connaissances. L’intérêt principal de notre étude, outre l’intégration du coton à SARRA-H, aura été d’éclaircir ce qui était possible ou non avec la calibration croisée et d’en souligner les raisons principales. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197984 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Agriculture E-18 EA GEN Numérique 99999898985 Consultable sous conditions Améliorer le rendement du réseau de distribution d’eau potable sur l’île de Marie Galante, un défi à la fois technique, administratif, financier et social. / Maxence Gobé (2018)
Titre : Améliorer le rendement du réseau de distribution d’eau potable sur l’île de Marie Galante, un défi à la fois technique, administratif, financier et social. Type de document : document électronique Auteurs : Maxence Gobé ; Marielle Montginoul, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 55 p. + annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Approvisionnement en eau ; Réseau d'eau potable ; Rendement en eau ; Facteur de rendement ; Gouvernance ; Gestion ; France - Guadeloupe, Marie GalanteRésumé : Depuis ces dernières années, la Guadeloupe subit une véritable crise de l’eau potable sur son
territoire. La distribution d’eau potable connait des difficultés, car la continuité de service n’est pas assurée sur l’ensemble du département. Parmi l’ensemble du territoire Guadeloupéen, le présent mémoire se concentre sur la situation de l’eau potable de l’île de Marie Galante. Le principal facteur de cette crise de l’eau est dû à un faible rendement du réseau de distribution d’eau potable, dont les causes sont multiples. Ce document aborde les différents aspects qui ont amené Marie Galante à se trouver dans une situation délicate et propose des préconisations pour pérenniser la distribution d’eau sur l’île. L’aspect technico pratique n’est pas suffisant pour remédier à la situation et d’autres leviers doivent être mobilisés. C’est pourquoi le présent rapport s’appuie sur la problématique suivante : Améliorer le rendement du réseau de distribution de l’île de Marie Galante, un défi à la fois technique, administratif, financier et social.Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198028 Améliorer le rendement du réseau de distribution d’eau potable sur l’île de Marie Galante, un défi à la fois technique, administratif, financier et social. [document électronique] / Maxence Gobé ; Marielle Montginoul, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 55 p. + annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Approvisionnement en eau ; Réseau d'eau potable ; Rendement en eau ; Facteur de rendement ; Gouvernance ; Gestion ; France - Guadeloupe, Marie GalanteRésumé : Depuis ces dernières années, la Guadeloupe subit une véritable crise de l’eau potable sur son
territoire. La distribution d’eau potable connait des difficultés, car la continuité de service n’est pas assurée sur l’ensemble du département. Parmi l’ensemble du territoire Guadeloupéen, le présent mémoire se concentre sur la situation de l’eau potable de l’île de Marie Galante. Le principal facteur de cette crise de l’eau est dû à un faible rendement du réseau de distribution d’eau potable, dont les causes sont multiples. Ce document aborde les différents aspects qui ont amené Marie Galante à se trouver dans une situation délicate et propose des préconisations pour pérenniser la distribution d’eau sur l’île. L’aspect technico pratique n’est pas suffisant pour remédier à la situation et d’autres leviers doivent être mobilisés. C’est pourquoi le présent rapport s’appuie sur la problématique suivante : Améliorer le rendement du réseau de distribution de l’île de Marie Galante, un défi à la fois technique, administratif, financier et social.Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198028 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES GOB Numérique 99999899049 Consultable sous conditions Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun / Rose Christiane Tonye Nliba (2018)
Titre : Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun Type de document : document électronique Auteurs : Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance Année de publication : 2018 Importance : 109 p.avec annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Analyse rétrospective de la consommation d’eau des abonnés du service public d’eau potable au Cameroun [document électronique] / Rose Christiane Tonye Nliba ; Agroparistech (Montpellier; FRA) ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA) ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance . - 2018 . - 109 p.avec annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Société
Catégories : RAMEAU
Eau potable ; Réseau d'eau potable ; Zone urbaine ; Zone périurbaine ; Consommation ; Gestion des eaux ; Service public ; Assurance qualité ; CamerounRésumé : Le Cameroun est un pays d’Afrique Centrale qui se caractérise par une démographie galopante, notamment en milieu urbain. Le pays qui est peuplé de 25 millions d’habitants affiche également un mouvement migratoire important de ses populations qui partent des zones rurales vers des villes à la recherche des conditions de vie meilleure. Parmi ces indicateurs de bien être, il y’a l’accès à l’eau potable qui est l’une des missions régaliennes à laquelle l’Etat a failli au cours des années 90. En effet après la crise économique qui a sévi à cette période, le service public d’eau géré par la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC) a connu des difficultés de gestion à cause des finances publiques fragilisées. Dès lors, de nombreuses infrastructures d’adductiond’eau ont été laissées à l’abandon, surtout dans des villes secondaires.Face à cette incapacité des pouvoirs publics, une réforme structurelle survient en 2005. Elle a conduit à la mise en place d’un système de Partenariat Public Privé (PPP) qui a lié deux structures partenaires à savoir: la CAMWATER qui est la société de patrimoine en charge de la gestion des infrastructures d’eau potable, et du contrôle des activités d’exploitation; et la Camerounaise des Eaux (CDE) qui est la société à capitaux majoritairement privés, chargée de l’exploitation du service public d’eau, et des aspects commerciaux. Au démarrage de ses activités en 2008, la CAMWATER se retrouve donc confrontée à un défi majeur qui est de rehausser le niveau de la desserte qui n’est que de 24% sur le territoire national. Pour cela, elle s’est dotée d’un Plan Directeur qui est un document de planification stratégique devant lui permettre de réaliser des investissements de façon durables en tenant compte des centres prioritaires. De même, d’accroitre l’offre en eau en fonction des prévisions de la demande d’eau de chaque centre, pour limiter l’inadéquation dans l’évolution de ces deux fonctions. Seulement depuis quelques années, on constate une baisse des consommations d’eau, ce qui soulève des questions et des hypothèses. La principale étant liée à la qualité du service fourni. Durant ce stage, nous avons tenté de comprendre le phénomène à partir d’une analyse des ressources documentaires qui encadrent le secteur,puis des bases de données d’historique des consommations d’eau allant de 2008 à 2017. La méthodologie de travail a été essentiellement basée sur des méthodes d’analyse et des tests statistiques comme Mann Kendall qui visent à décrire et à comprendre des hypothèses qu’on avance. Dix villes des régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est ont été retenues au terme d’une analyse préalable qui a permis de distinguer les centres excédentaires de ceux déficitaires en eau. Par ailleurs, le modèle économétrique ARIMAa servi à réaliser des prévisions de ces consommations d’eau sur l’année en cours et celle d’après (2018 et 2019). A l’issu de toutes ces analyses, nous avons relevé des grandes disparités en matière de consommation d’eau dans toutes les villes des régions. Cela a été perçu à travers l’écart considérable qui existe entre les valeurs des consommations moyennes (32,12 m3/mois) et médianes (7,58 m3/mois). Comme causes principales de la baisse, nous avons tout d’abord relevé les coupures d’eau intempestives, ensuite la fraude dans le réseau qui provoque de nombreux désistement d’abonnés. Cependant soulignons que cette baisse n’est pas autant perceptible chez les abonnés qui ont recours aux bornes fontaines payantes. D’après le modèle prévisionnel établi pour le centre de Yaoundé Agglomération, la baisse se poursuivra dans les quartiers couverts par les agences de Melen et de Mvog-Ada, en l’occurrence dans la ville périphérique de Soa. Naturellement, il a été constaté queces coupures d’eau ont entrainé un changement sur ceux qui la subisse puisque nombreux d’entre eux se sont tournés vers des ressources d’eau alternatives (puits ou forages). De même, la fréquence de ces coupures provisoires s’est avérée significative vis-à-vis du recours à ces ressources subsidiaires dont l’adoption provoque une baisse forte du volume moyen de consommation d’eau mensuelle qui passe de 21,35m3à 1,8 m3.Ainsi au terme de cette étude, des travaux complémentaires restent nécessaires pour prendre en compte tous ces nouveaux paramètres déterminants dans les modèles prévisionnels de demande d’eau. De plus, il faudrait que la place des bornes fontaines soit confortée dans la fonction demande de ces zones périurbaines mal desservies qui abritent de nombreux ménages à revenus faibles et saisonniers.Ceci pourra dans une certaine mesure aider l’entreprise à maintenir ces abonnés domestiques dans le réseau. Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=198037 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_A Numérique 99999899050 Consultable sous conditions Montpellier Serveur Eau et Société E-18 ES TON_B Numérique 99999899051 Consultable sous conditions Building scenarios of future water demands in an irrigation scheme in Khammouane Province, Laos / Olivier Hussain (2018)
Titre : Building scenarios of future water demands in an irrigation scheme in Khammouane Province, Laos Type de document : document électronique Auteurs : Olivier Hussain ; Gilles Belaud, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; CIRAD (Montpellier; FRA), Ancien possesseur ; IRD (Montpellier; FRA), Ancien possesseur Année de publication : 2018 Importance : 64 p.+ annexes Note générale : Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Agriculture Langues : Anglais (eng) Catégories : RAMEAU
Estimation ; Besoin en eau ; Irrigation ; Cours d'eau ; RizRésumé : [Français] La demande en eau grandissante depuis plusieurs décennies, liée à l’accroissement démographique et au développement socio-économique, est une menace mondiale quant à la sécurité vis-à-vis de la ressource en eau et la santé environnementale.Le Gouvernement du Laos a initié la réhabilitation et l’amplification du périmètre irrigué de la Nam Kata, dans le district de Boualapha, province de Kammouane, avec l’appui de l’Agence Française de Développement. L’irrigation à Boualapha fut mise en place en 1993, et fut arrêtée en 2006 à la suite de la destruction du seuil d’irrigation par des inondations pendant la saison humide. Une majorité des agriculteurs dépend, depuis, du riz en saison humide, malgré la présence de quelques potagers/jardins. L’objectif de l’étude est d’analyser l’adéquation entre ressource en eau et besoin en eau d’irrigation selon les différents scénarios envisagés.Les interviews ont montré que, dans le futur, les agriculteurs désirent cultiver majoritairement du riz pendant la saison humide, mais certains désirent diversifier leurs cultures en saison sèche (65% riz, 15% légumes, 10% Maïs, 10% Tabac). Les débits mesurés dans le Nam Kata sont supposés suffisants pour répondre aux demandes en eau des agriculteurs sur environ 130 ha en saison sèche, et sur la totalité de la surface en saison humide. Un autre scénario, présentant des cultures avec des demandes en eau moins importantes (Scenario 2: 45% Légumes; 25% Maïs; 30% Tabac), a été estimé réalisable sur une superficie d’environ 180 ha. Plusieurs solutions visant à atténuer la pression sur la ressource en eau ont été émises, comme l’utilisation des canaux principaux comme stockage en vue de la préparation du sol, ou la construction de stockage intermédiaire (Bassins d’irrigations à l’échelle de l’exploitation), ou décaler l’étape de pépinière et de repiquage pour certains agriculteurs (Etapes les plus consommatrices en eau du cycle du riz) ou enfin, utiliser des variétés moins consommatrices en eau ou d’une durée inférieure de sorte à décaler les dates de la pépinière et du repiquage et ainsi éviter les éventuelles périodes de sécheresse. Mais l’accessibilité de la ressource en eau n’est pas l’unique paramètre à prendre en compte pour assurer le bon fonctionnement du périmètre irrigué. En effet, l’organisation des tours d’eau d’irrigation et la réflexion collective sur la question de l’irrigation, assureront la pérennité du projet. Ce sera à la future association des usagers de l’eau qu’incombera cette tâche.
[Anglais]The ever-increasing demand for water due to growth of population and socioeconomic developmentin thepast several decades has posed a worldwide threat to water supply security and to the environmentalhealth of rivers.The Government of Laos initiated a projet to rehabilitate and expand the Nam Kata irrigation scheme in In Boualapha district, Khammouane province, with support from French Development Agency. Irrigation in Boualapha was functional in 1993 and stopped in 2006 when a weir was destroyed by floods during the wet season. Farmers have been sustaining on wet season rice and occasional gardens ever since.The goal of the study is to compare the water availability and the irrigation needs based on different scenarios. The surveys shown that, in the future, farmers want to grow rice during the wet season and have different choices in terms of crops during the dry season (65% rice,15% of vegetables, 10% maize, and 10% of tobacco). The flows in Nam kata in the measured timeframe are enough to fulfill the farmer’s choices in terms of cropping pattern for an approximate area of 130ha during the dry season, and for the full area in the wet season. Another scenario was emitted with less water-consuming crops (Scenario 2: 45% vegetables; 25% maize; 30% tobacco.) and have been estimated possible for an approximate area of 180ha. Several solutions have been considered to alleviate the pressure on the water resource such as using primary canals as storage prior to land preparation, or build intermediary storage (small on-farm ponds), phasing nursery and transplanting activities across the scheme (most water demanding periods of the rice cycle) and using varieties that are less water demanding or of a slightly shorter duration so as to postpone land preparation and harvest before potential dry spells.But the water availability isn’t the only parameter to considerin order to have a functioning scheme. Indeed, the organization of irrigation and the collective reasoning about irrigation issues will play a major role in the well-being of the project, and this task rests in the hands of the future Water User Group.Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197986 Building scenarios of future water demands in an irrigation scheme in Khammouane Province, Laos [document électronique] / Olivier Hussain ; Gilles Belaud, Directeur de mémoire ; Montpellier SupAgro (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Agroparistech (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; Université de Montpellier (Montpellier; FRA), Organisme de soutenance ; CIRAD (Montpellier; FRA), Ancien possesseur ; IRD (Montpellier; FRA), Ancien possesseur . - 2018 . - 64 p.+ annexes.
Stage de fin d'étude du master "Sciences de l'eau" parcours Eau et Agriculture
Langues : Anglais (eng)
Catégories : RAMEAU
Estimation ; Besoin en eau ; Irrigation ; Cours d'eau ; RizRésumé : [Français] La demande en eau grandissante depuis plusieurs décennies, liée à l’accroissement démographique et au développement socio-économique, est une menace mondiale quant à la sécurité vis-à-vis de la ressource en eau et la santé environnementale.Le Gouvernement du Laos a initié la réhabilitation et l’amplification du périmètre irrigué de la Nam Kata, dans le district de Boualapha, province de Kammouane, avec l’appui de l’Agence Française de Développement. L’irrigation à Boualapha fut mise en place en 1993, et fut arrêtée en 2006 à la suite de la destruction du seuil d’irrigation par des inondations pendant la saison humide. Une majorité des agriculteurs dépend, depuis, du riz en saison humide, malgré la présence de quelques potagers/jardins. L’objectif de l’étude est d’analyser l’adéquation entre ressource en eau et besoin en eau d’irrigation selon les différents scénarios envisagés.Les interviews ont montré que, dans le futur, les agriculteurs désirent cultiver majoritairement du riz pendant la saison humide, mais certains désirent diversifier leurs cultures en saison sèche (65% riz, 15% légumes, 10% Maïs, 10% Tabac). Les débits mesurés dans le Nam Kata sont supposés suffisants pour répondre aux demandes en eau des agriculteurs sur environ 130 ha en saison sèche, et sur la totalité de la surface en saison humide. Un autre scénario, présentant des cultures avec des demandes en eau moins importantes (Scenario 2: 45% Légumes; 25% Maïs; 30% Tabac), a été estimé réalisable sur une superficie d’environ 180 ha. Plusieurs solutions visant à atténuer la pression sur la ressource en eau ont été émises, comme l’utilisation des canaux principaux comme stockage en vue de la préparation du sol, ou la construction de stockage intermédiaire (Bassins d’irrigations à l’échelle de l’exploitation), ou décaler l’étape de pépinière et de repiquage pour certains agriculteurs (Etapes les plus consommatrices en eau du cycle du riz) ou enfin, utiliser des variétés moins consommatrices en eau ou d’une durée inférieure de sorte à décaler les dates de la pépinière et du repiquage et ainsi éviter les éventuelles périodes de sécheresse. Mais l’accessibilité de la ressource en eau n’est pas l’unique paramètre à prendre en compte pour assurer le bon fonctionnement du périmètre irrigué. En effet, l’organisation des tours d’eau d’irrigation et la réflexion collective sur la question de l’irrigation, assureront la pérennité du projet. Ce sera à la future association des usagers de l’eau qu’incombera cette tâche.
[Anglais]The ever-increasing demand for water due to growth of population and socioeconomic developmentin thepast several decades has posed a worldwide threat to water supply security and to the environmentalhealth of rivers.The Government of Laos initiated a projet to rehabilitate and expand the Nam Kata irrigation scheme in In Boualapha district, Khammouane province, with support from French Development Agency. Irrigation in Boualapha was functional in 1993 and stopped in 2006 when a weir was destroyed by floods during the wet season. Farmers have been sustaining on wet season rice and occasional gardens ever since.The goal of the study is to compare the water availability and the irrigation needs based on different scenarios. The surveys shown that, in the future, farmers want to grow rice during the wet season and have different choices in terms of crops during the dry season (65% rice,15% of vegetables, 10% maize, and 10% of tobacco). The flows in Nam kata in the measured timeframe are enough to fulfill the farmer’s choices in terms of cropping pattern for an approximate area of 130ha during the dry season, and for the full area in the wet season. Another scenario was emitted with less water-consuming crops (Scenario 2: 45% vegetables; 25% maize; 30% tobacco.) and have been estimated possible for an approximate area of 180ha. Several solutions have been considered to alleviate the pressure on the water resource such as using primary canals as storage prior to land preparation, or build intermediary storage (small on-farm ponds), phasing nursery and transplanting activities across the scheme (most water demanding periods of the rice cycle) and using varieties that are less water demanding or of a slightly shorter duration so as to postpone land preparation and harvest before potential dry spells.But the water availability isn’t the only parameter to considerin order to have a functioning scheme. Indeed, the organization of irrigation and the collective reasoning about irrigation issues will play a major role in the well-being of the project, and this task rests in the hands of the future Water User Group.Type de document : Mémoire Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=197986 Exemplaires
Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Montpellier Serveur Eau et Agriculture E-18 EA HUS Numérique 99999898988 Consultable sous conditions Calculs des services écosystémiques liés à la quantité d’eau sur le campus de l’Université Paul Sabatier / Grégoire Gualchierotti (2018)
PermalinkCaractérisation des prélèvements directs en rivière et des retenues collinaires sur les sous-bassins déficitaires (Dunière, Boyon) et sensible (Glo) du bassin de l’Eyrieux et proposition de pistes de solutions alternatives (07) : étude de 12 cas / Rindramalala Razafimamonjy (2018)
PermalinkConception d'aménagements à maîtrise partielle de l’eau pour l'irrigation du riz dans les bas-fond du Sud-Ouest du Burkina Faso / Tatianah Raherizatovo (2018)
PermalinkConception centralisée des systèmes ferti-irrigués sous pression dans la Comunidad Valenciana: : Un regard sur les adaptations permettant la diversification de la fruiticulture / Noemi Poblador (2018)
PermalinkDevelopment of an fertigation algorithm for an automated device for drip irrigation in greenhouse: models and prototype / Julien Petit (2018)
PermalinkDiagnostic Territorial appliqué aux problématiques du multi-usage de l’eau / Mounir Chaiblaine (2018)
PermalinkLes diagnostics et plans de gestion sont-ils efficaces pour répondre aux objectifs de la Directive Cadre Européenne concernant la qualité des masses d’eau ? : retours d’expériences du diagnostic des étangs dans les Bouches du Rhône et du plan de gestion des salins d’Hyères et presqu’île de Giens / Nicolas Fantino (2018)
PermalinkLa dynamique d’évolution du modèle de l’assainissement français : Problématique : Comprendre le développement de l’assainissement français à travers l’analyse des paramètres techniques, institutionnels et législatifs, en interaction avec des processus sociologiques / Samuel Perrier (2018)
PermalinkEconomies d’eau d’irrigation en contexte maraîcher nantais : Projet régional LEG’EAU : Introduction, évaluation et acquisition de références d’un outil innovant d’aide au pilotage de l’irrigation dans le contexte maraîcher nantais / Florian Delaunay (2018)
PermalinkEffet d’un relief collinaire sur les flux surface-atmosphère : analyse expérimentale et modélisation / Mariem Dhouib (2018)
PermalinkPermalinkEtude d’une pollution phytosanitaire au métazachlore dans la source du Val-qui-rit à Saint-Prim en Isère / Lauriane Grenier (2018)
PermalinkEvaluation d’une démarche de modélisation des risques de contamination des eaux par les pesticides en milieu volcanique tropical / Pauline Campan (2018)
PermalinkEvaluation in-silico des systèmes de culture innovants dans le cadre d’une démarche participative : Application du modèle STICS sur le réseau de parcelles AUTO’N en Champagne crayeuse / Toky Ramananjatovo (2018)
PermalinkEvaluation des services rendus par les aménagements végétalisés de gestion des eaux pluviales / Quentin Robiquet (2018)
PermalinkExtension du réseau BRL et bassins de stockage pour l’irrigation agricole en Piémont Cévenol / Adélie Caravaca (2018)
PermalinkGouvernance et gestion de l’eau dans le bassin versant du Reraya : province d'Al Haouz, Maroc : étude des impacts des activités humaines et du réchauffement climatique sur l'agriculture et la gestion d'infrastructures hydrauliques depuis 1920 / Hoel Le Roux (2018)
PermalinkL’impact d’une ONG dans l’amélioration de l’accès à l’eau potable en milieu rural au Cambodge via l’implantation d’une technologie au sein d’un foyer : l’exemple de la filtration comme système de traitement à l’échelle du ménage / Alisée Cottet (2018)
PermalinkIrrigation de la vigne : Incidence d’une ressource en eau non contrôlée sur la maitrise des objectifs de rendement / Loïc Pailhoux (2018)
PermalinkLimitation des transferts de pollution diffuse par ruissellement dans le bassin versant du Falleron / Camille Bernon (2018)
Permalink