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Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds : une solution à la pollution des sols et de l'eau ? / Jean-Pierre Jost (2018)
Titre : Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds : une solution à la pollution des sols et de l'eau ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Jost (1937-....), Auteur ; Yan-Chim Jost-Tse, Auteur Editeur : Saint-Denis : Connaissances et Savoirs Année de publication : 2018 Collection : Sciences Biologie Importance : 1 vol. (165 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul., fig. Format : 20 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7539-0590-0 Prix : 26 EUR Note générale : Bibliogr. p. 137-154 Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Sols -- Pollution par les métaux lourds ; Eau -- Pollution par les métaux lourds ; Plantes -- Effets des métaux lourdsRésumé : La 4è de couv. indique :"Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds (zinc, cuivre, plomb, chrome, sélénium, arsenic, mercure, cadmium, nickel, argent, or, et platine) sont capables de les absorber et de décontaminer les eaux et les sols pollués. Près de mille plantes hyperaccumulatrices ou tolérant les métaux lourds ont été identifiées et chacune d'elles a sa spécialité.
Cet ouvrage aborde plusieurs questions importantes. Quelles sont les origines de la pollution aux métaux lourds ? Comment les plantes réagissent-elles à la présence de ces métaux ? Pour la plante quels sont les avantages d'accumuler les métaux lourds (compétition avec d'autres plantes, protection contre les parasites et pathogènes) ? Quelles sont les qualités essentielles requises pour qu'une plante devienne de façon rentable accumulatrice de métaux lourds (potentiel d'accumulation, biomasse, système racinaire) ? Comment améliorer ces plantes par transgénèse ? Quelle est l'utilité de l'application d'engrais et d'agents chélateurs ? Quelques exemples pratiques de phytominage du nickel, de l'or et de l'argent ainsi que la phytoremèdiation (rhizofiltration, phytostabilisation, phytoextraction, phytovolatilisation) de sites pollués (sol et eau) au nickel, arsenic, cadmium, cuivre, mercure, plomb, sélénium, zinc sont présentés. Plus de quatre-vingts espèces de plantes tolérantes ou hyperaccumulatrices de métaux lourds sont citées dont seize d'entre elles sont illustrées dans cet ouvrage (aquarelles de l'un des auteurs)."Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=196614 Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds : une solution à la pollution des sols et de l'eau ? [texte imprimé] / Jean-Pierre Jost (1937-....), Auteur ; Yan-Chim Jost-Tse, Auteur . - Saint-Denis : Connaissances et Savoirs, 2018 . - 1 vol. (165 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul., fig. ; 20 x 14 cm. - (Sciences Biologie) .
ISBN : 978-2-7539-0590-0 : 26 EUR
Bibliogr. p. 137-154
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Sols -- Pollution par les métaux lourds ; Eau -- Pollution par les métaux lourds ; Plantes -- Effets des métaux lourdsRésumé : La 4è de couv. indique :"Les plantes hyperaccumulatrices de métaux lourds (zinc, cuivre, plomb, chrome, sélénium, arsenic, mercure, cadmium, nickel, argent, or, et platine) sont capables de les absorber et de décontaminer les eaux et les sols pollués. Près de mille plantes hyperaccumulatrices ou tolérant les métaux lourds ont été identifiées et chacune d'elles a sa spécialité.
Cet ouvrage aborde plusieurs questions importantes. Quelles sont les origines de la pollution aux métaux lourds ? Comment les plantes réagissent-elles à la présence de ces métaux ? Pour la plante quels sont les avantages d'accumuler les métaux lourds (compétition avec d'autres plantes, protection contre les parasites et pathogènes) ? Quelles sont les qualités essentielles requises pour qu'une plante devienne de façon rentable accumulatrice de métaux lourds (potentiel d'accumulation, biomasse, système racinaire) ? Comment améliorer ces plantes par transgénèse ? Quelle est l'utilité de l'application d'engrais et d'agents chélateurs ? Quelques exemples pratiques de phytominage du nickel, de l'or et de l'argent ainsi que la phytoremèdiation (rhizofiltration, phytostabilisation, phytoextraction, phytovolatilisation) de sites pollués (sol et eau) au nickel, arsenic, cadmium, cuivre, mercure, plomb, sélénium, zinc sont présentés. Plus de quatre-vingts espèces de plantes tolérantes ou hyperaccumulatrices de métaux lourds sont citées dont seize d'entre elles sont illustrées dans cet ouvrage (aquarelles de l'un des auteurs)."Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=196614 Réservation
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Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Paris Claude Bernard Bibliothèque ECOLOGIE VEGETALE (Marron) P2019/119 Papier 33004001146904 Empruntable Stratégie de défense des plantes contre les maladies et les parasites (et quelques applications pratiques) / Jean-Pierre Jost (2016)
Titre : Stratégie de défense des plantes contre les maladies et les parasites (et quelques applications pratiques) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Jost (1937-....), Auteur ; Yan-Chim Jost-Tse, Auteur Editeur : Saint-Denis : Connaissances et Savoirs Année de publication : 2016 Collection : Sciences Biologie Importance : 1 vol. (209 p.) Présentation : ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul., fig. Format : 20 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7539-0390-6 Prix : 16 EUR Note générale : Bibliogr. p. 171-194 Langues : Français (fre) Catégories : RAMEAU
Plantes -- Maladies -- Lutte biologique contre ; Plantes -- Moyens de défenseMots-clés : méthode de lutte protection des plantes résistance aux facteurs nuisibles plante Résumé : La 4è de couv. indique : "Lors d'infections ou de ravages, les plantes renforcent leurs barrières structurales de défense. Par la même occasion elles déclenchent par l'intermédiaire d'éliciteurs une cascade de réactions aboutissant à la synthèse de substances chimiques (phytoalexines) dirigées contre ses ennemis. Parmi celles-ci il y a les alcaloïdes, terpènoïdes, composés phénoliques, cyanogènes, lectines et diverses enzymes. Ces substances sont soit déjà présentes dans la plante (anticipines) soit induites par les pathogènes et ravageurs. Une plante peut neutraliser les toxines des pathogènes et vice versa. L'interférence par l'ARN permet aux plantes de lutter contre les virus, la méthylation de l'ADN réduit les gènes étrangers au silence.
Les hormones de stress (éthylène, jasmonate, salicylate, acide abscissique, strigolactones, systémine) sont impliquées dans les réactions de défense. Les substances volatiles servent à communiquer entre plantes (appel aux parasitoïdes, avertissement de dangers d'infection ou de prédation). La communication souterraine entre plantes se fait à l'aide de mycorhizes (Internet souterrain).
Ce que nous avons appris sur les stratégies de défense chez les plantes a son application pratique dans la lutte contre les maladies et les parasites."Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=192946 Stratégie de défense des plantes contre les maladies et les parasites (et quelques applications pratiques) [texte imprimé] / Jean-Pierre Jost (1937-....), Auteur ; Yan-Chim Jost-Tse, Auteur . - Saint-Denis : Connaissances et Savoirs, 2016 . - 1 vol. (209 p.) : ill. en noir et blanc, couv. ill. en coul., fig. ; 20 x 14 cm. - (Sciences Biologie) .
ISBN : 978-2-7539-0390-6 : 16 EUR
Bibliogr. p. 171-194
Langues : Français (fre)
Catégories : RAMEAU
Plantes -- Maladies -- Lutte biologique contre ; Plantes -- Moyens de défenseMots-clés : méthode de lutte protection des plantes résistance aux facteurs nuisibles plante Résumé : La 4è de couv. indique : "Lors d'infections ou de ravages, les plantes renforcent leurs barrières structurales de défense. Par la même occasion elles déclenchent par l'intermédiaire d'éliciteurs une cascade de réactions aboutissant à la synthèse de substances chimiques (phytoalexines) dirigées contre ses ennemis. Parmi celles-ci il y a les alcaloïdes, terpènoïdes, composés phénoliques, cyanogènes, lectines et diverses enzymes. Ces substances sont soit déjà présentes dans la plante (anticipines) soit induites par les pathogènes et ravageurs. Une plante peut neutraliser les toxines des pathogènes et vice versa. L'interférence par l'ARN permet aux plantes de lutter contre les virus, la méthylation de l'ADN réduit les gènes étrangers au silence.
Les hormones de stress (éthylène, jasmonate, salicylate, acide abscissique, strigolactones, systémine) sont impliquées dans les réactions de défense. Les substances volatiles servent à communiquer entre plantes (appel aux parasitoïdes, avertissement de dangers d'infection ou de prédation). La communication souterraine entre plantes se fait à l'aide de mycorhizes (Internet souterrain).
Ce que nous avons appris sur les stratégies de défense chez les plantes a son application pratique dans la lutte contre les maladies et les parasites."Type de document : Livre Permalien de la notice : https://infodoc.agroparistech.fr/index.php?lvl=notice_display&id=192946 Réservation
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Localisation Emplacement Section Cote Support Code-barres Disponibilité Paris Claude Bernard Bibliothèque PHYTOPATHOLOGIE (Vert) P2017/328 Papier 33004001142762 Empruntable